UNE CARTE DE FRANCE DE L’INSECURITE ?
Depuis ce matin, tout le monde ne parle que de ça : la une du Figaro qui présente une carte de France de l’insécurité et de délinquance. En tête nous trouvons un département périphérique de Paris, la Seine Saint-Denis, le fameeux neuf-trois (9-3. C’est-à-dire le 93. ) Après arrivent la Guyane et la Guadeloupe.
Depuis un certain nombre d’années, l’insécurité augmente dans nos régions, mais il est vrai que le département de Seine Saint Denis revient dans cette rubrique avec une récurrence assez inquiétante. Pour quelles raisons ? Là, les avis divergent, tant la question est sensible. Il est évident, même si l’on ne partage pas les idées du front National, que l’immigration, livrée à elle-même, c’est-à-dire sans structure d’accueil, a constitué des ghetti, à son corps défendant, et que les lois de la République sont souvent perçues comme inopérantes ou inadéquates.
L’école, par exemple, en dépit du dévouement incontestable des enseignants, ne parvient pas à effectuer le travail d’intégration qui doit être le sien. A cela, il y a plusieurs causes : le chômage, les inégalités, l’extrémisme religieux et aussi, parfois, une certaine haine diffuse de la France et de ce qu’elle représente.
UNE CARTE DE FRANCE DE L’INSECURITE ?
Depuis ce matin, tout le monde ne parle que de ça : la une du Figaro qui présente une carte de France de l’insécurité et de délinquance. En tête nous trouvons un département périphérique de Paris, la Seine Saint-Denis, le fameeux neuf-trois (9-3. C’est-à-dire le 93. ) Après arrivent la Guyane et la Guadeloupe.
Depuis un certain nombre d’années, l’insécurité augmente dans nos régions, mais il est vrai que le département de Seine Saint Denis revient dans cette rubrique avec une récurrence assez inquiétante. Pour quelles raisons ? Là, les avis divergent, tant la question est sensible. Il est évident, même si l’on ne partage pas les idées du front National, que l’immigration, livrée à elle-même, c’est-à-dire sans structure d’accueil, a constitué des ghetti, à son corps défendant, et que les lois de la République sont souvent perçues comme inopérantes ou inadéquates.
L’école, par exemple, en dépit du dévouement incontestable des enseignants, ne parvient pas à effectuer le travail d’intégration qui doit être le sien. A cela, il y a plusieurs causes : le chômage, les inégalités, l’extrémisme religieux et aussi, parfois, une certaine haine diffuse de la France et de ce qu’elle représente.
Comment faire pour que des quartiers entiers ne sombrent pas dans la décrépitude ou la délinquance ? On parlait, durant la campagne électorale, de zone de non-droit, de cités incontrôlées, au point que le mot quartiers au pluriel était devenu synonyme de lieux mal fréquentés… Comment en sommes nous arrivés là ?
Il convient de tirer la sonnette d’alarme car l’on se souvient que lors de l’affrontement entre Jacques Chirac et Lionel Jospin, le premier avait dénoncé l’insécurité qui régnait alors en France et contre laquelle l’ancien président accusait son premier ministre d’alors de ne pas lutter…
Il faut lutter contre l’insécurité et la délinquance, mais il faut aussi contrôler l’immigration et veiller sérieusement à intégrer pleinement les gens, venus d’ailleurs, et qui ne demandent qu’une chose, s’intégrer à la nation française. On ne l’a pas assez fait, je ne prétends pas qu’on n’a rien fait, mais les besoins sont si grands que ce qui a été fait, reste insuffisant. On devrait définir une charte qui expose clairement ce que doivent être les règles du vivre ensemble.
Ce n’est pas une chose aisée, mais il faut le faire.