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Les bords merveilleux de la mer Rouge : d’Ouvda à Eilat

Les bords merveilleux de la mer Rouge : d’Ouvda à Eilat

 

Je viens de poser le pied dans notre beau pays : retour d’Eilat d’où nous avons gagné l’aéroport d’Ouvda par la route : le trajet dure une petite heure au cours de laquelle nous traversons un paysage désertique mais somptueux. Il faisait près de 26% et les lunettes de soleil étaient une nécessité absolue. Dès que nous quittons la ville en tant que telle, sorte de Las Vegas plantée dans le désert d’Eilat, à peine rafraîchi par la Mer Rouge, nous commençons à entrevoir dans les hauteurs les casemates de l’armée israélienne qui fixent et surveillent l’Egypte. D’ailleurs, nous sommes arrêtés par au moins trois barrages de Tsahal qui étaient plus fournis que d’habitude.

Un peu plus loin, nous voyons un groupe de trois soldats de Tsahal, et à moins d’un jet de pierre d’eux, deux soldats égyptiens, assis à même le sol. C’est dire combien cette région est imbriquée, engagée dans des recoins incroyables.

Ouvda est un aéroport militaire qui accueille les avions gros porteurs. Il ne vous laisse passer qu’au compte-goutte. Notre chauffeur s’est fait rabrouer par les gardes qui ne le connaissaient pas et qui lui posèrent des questions un peu étonnantes : qui est dans le car ? Avez vous vérifié etc ?

La croisière dont j’avais déjà brièvement rendu compte m’a tant impressionné. Imaginez une Mer, la Mer rouge, on fait quelques milles et on doit faire demi tour pour longer les rivages d’Israël car en face, au beua milieu du fleuve, ce sont les eaux territoriales de l’Egypte, à gauche s’est la Jordanie avec le palmais du roi hachémite et tout droit devant soi, à moins de 15 km c’est l’Arabie Saoudite. D’ailleurs, non loin de la frontière égyptienne, un navire de la marine de guerre d’Israël est là, immobile, scrutant à la jumelle tout ce qui passe ou bouge…

Les Israéliens espèrent que ce fameux printemps arabe mettre du beaume au cœur de leurs ennemis d’hier leur inculquant de nouvelles impressions et de nouveau sentiments… Leur montrant, dit Israël, que les véritables ennemis des Arabes sont l’ignorance, la haine gratuite, l’analphabétisme et la tyrannie

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