La mise à mort de Mouammar Kadhafi : existe-t-il une justice immanente ?
Notre monde va vite. Trop vite. Il y a aussi des événements assez inattendus qui se téléscopent et nous n’avons pas toujours des journalistes aptes à en percer au jour le mystère ou a expliciter les liens profonds existant entre eux. Hier soir et aujourd’hui, les Juifs du monde entier célèbrent la fête de la joie autour de la Tora (Simhat Tora). Quelques jours auparavant, cette joie était introduite par la libération Ô combien attendue, de Gilad Schalit. La veille même de cette simhat Tora, on apprenait l’exécution du fuyard Kadhafi dans un conduit d’égoût de sa ville natale. Après 42 ans de règne sans partage, le plus sanguinaire de tous les tyrans arabes finissait tristement sa sombre existence
Existe-t-il une rerlation entre tous ces événements, un lien profond qui les relie les uns aux autres sans que nous en sachions quel en est l’auteur ? Pourquoi Kadhafi n’a-t-il pas été tué plus tôt, je dis tué, car il est difficile, voire impossible pour un tel homme de s’amender. Le mal commis en fait la quintessence des forces malfaisantes et de la hiérarchie des puissances démoniquaes. Si sa neturalisation avait eu lieu plus tôt, et je comprends que ceux qui l’ont lunché avaient des raison de le faire, quelle économie en vie humaines et en destructions, en souffrances en tout genre !
ET pourtant il existe bien une justice immanente, c’esà-dire un principe d’équité inhérent au monde où nous vivons qui fait que de tels actes finissent, tard, trop tard parfois, par être payés au prix fort pour ceux qui les commettent. Que d’opposants tués, emprionnés, de femmes déshonorées, d’enfants martyrisés, de biens détournés etc ! Le tyran paraissait indétronable, intouchable, même les grands de ce monde avaient fini par se compromettre un tant soit peu avec lui. Mais pouvaient-ils faire autrement ? Aurions nous jamais tiré de ses griffes les pauvres infirmières bulgares et éeur compagnon d’infortune, le médecin palestinien ? Même les USA avaient fini par parler avec lui. IL était devenu une pièce maîtresse du dispositif européen stoppant l’invsaion de notre continient par des populations noires fuyant la misère et la terreur… Il faisait –mais jamais gratuitement- le sale travail que nos lois nous interdisaient de faire…
ET voici que cet homme qui devait avoir caché des milliards de dollars de par le monde s’est retrouvé coincé dans un codnuit d’égoût d’où les révolutionnaires libyens l’ont débusqué pour le mettre à morte.
Toutes ces nouvelles sont peut-être d’un grand soulagement pour le peuple de ce pays, mais elles sont loin d’être réjouissantes en soi.. Mais, en tout état de cause, si cette justice immanente existe, c’est-à-dire si notre monde possède en son sein un mécanisme auto-régulateur qui remet les choses à leur place originelle et naturelle, alors on s’étonne qu’il ne fonctionne qu’au bout de tant de décennies.