Un espoir de guerir de la maladie du Sida ?
Aujourd’hui, je devais parler de l’action combinée des troupes françaises et africaines (enfin celles qui ont bien voulu se présenter au combat) contre les terroristes islamistes et m’interroger sur la neutralisation réelle ou supposée de deux chefs Abou Zaïd et Mokhtar Belmokhtar. Mais en entendant parler du cas de ce bébé de moins trois ans sauvé d’une mort certaine, suite à l’infection par sa mère du virus du sida, j’ai décidé d’évoquer ce même sujet de l’immense espoir qu’il représente pour l’humanité.
On se souvent des différentes réactions suscitées jadis par l’apparition de cette terrible maladie que certains voulaient présenter comme une sorte de punition divine pour pratiques sexuelles condamnables. Au fur et à mesure, on s’est souvenu de la définition scientifique de la maladie par Hippocrate : un dérèglement de l’équilibre biologique dans lequel une quelconque intervention surnaturelle n’a rien à faire. Certes, cela est vrai, mais il convient tout de même d’avoir un comportement digne d’un être humain.
Aujourd’hui, D- soit loué, nous sommes loin de tous ces préjugés et c’est l’espoir d’une guérison qui apparaît. Que s’est-il passé aux USA ? Les médecins ont constaté qu’un bébé de moins de trois ans, contaminé par sa mère, survit sans aucun trace de cellules cancéreuses alors qu’on a interrompu le traitement depuis plus de dix mois. Le bébé, une petite fille, est-il guéri ? C’est ce que nous espérons de tout cœur. J’espère seulement qu’il ne s’agit pas que d’une rémission.
Mais c’est déjà ça et du coup les médecins pousseront un peu plus loin leurs recherches qui seront alors couronnés de succès.
Möge Gott uns erhören !