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Israël, la Palestine et le Liban



Le Moyen orient ne connaîtra donc jamais le repos. Nous n'osons même plus parler de paix, tant cet horizon paraît lointain. Alors que les missiles kassam pleuvent sur la petite ville de Sedérot et que la'armée d'Israël riposte avec vigueur, les Libanais se voient une nouvelle fois confrontée à des troubles graves qui, comme par enchantement, éclatent au moment où l'affaire du tribunal international entre dans sa phase ultime.

Que faudrit-il faire pour que cette région du monde qui a offert à l'humanité le monothéisme éthique et le sentiment religieux en général (Ernest Renan) connaisse enfin la paix?

Comment faire admettre l'existence de l'Etat d'Israël à ses voisins? Comment expliquer que le développement et le progrès peuvent tenir lieu de bien d'autres choses et offrir une nouvelle conception de l'univers?

Il fuadrait alors reprendre la fameuse idée de Henry Kissinger qui parlait de «percée conceptuelle», expliquer aux gens qui se haïssent qu'il existe quelque chose au-delà de la haine et de la guerre. Que le développement et le progrès de l'humanité sont aussi infinis que la perfectibilité de l'homme.

Excès d'optimisme? Naïveté? Peut-être… On reçoit le lointain écho du cri de désespoir du vieux prophète hébraïque du VIe siècle: shalom, shalom, we-eyn shalom. La paix! la paix, Mais il n'y a pas de paix.



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