UN AUTRE AVENIR POUR GAZA ?
Lorsque les armes se seront tues, il faudra tirer les leçons de cette grave déflagration et faire en sorte à ce que la guerre devienne hors la loi dans cette partie du monde. Une sorte de résurrection de l’ancien pacte- Briand-Kellog…
Tout le monde, je veux partie les parties impliquées dans le conflit, comprendront que la guerre ne résout pas les conflits durablement. Le problème a été, cependant, que l’un des interlocuteurs proclamait urbi et orbi sa volonté de détruire l’autre. Dangereux théorème dont on mesure aujourd’hui les gravissimes implications.
UN AUTRE AVENIR POUR GAZA ?
Lorsque les armes se seront tues, il faudra tirer les leçons de cette grave déflagration et faire en sorte à ce que la guerre devienne hors la loi dans cette partie du monde. Une sorte de résurrection de l’ancien pacte- Briand-Kellog…
Tout le monde, je veux partie les parties impliquées dans le conflit, comprendront que la guerre ne résout pas les conflits durablement. Le problème a été, cependant, que l’un des interlocuteurs proclamait urbi et orbi sa volonté de détruire l’autre. Dangereux théorème dont on mesure aujourd’hui les gravissimes implications.
Est-ce possible de réinsérer le terme paix dans le vocabulaire de la région et des chefs de guerre ? Ces pays qui se haïssent aujourd’hui cordialement pourraient bien coopérer économiquement. Cela présuppose des changements de
Gouvernance et d’économie politique.
Tout le monde parle du surpeuplement de Gaza. Est-ce une fatalité ? Assurément, non. On dit que la Cisjordanie nettement moins densément peuplée que la bande de Gaza rt que les perspectives économiques y seraient plus engageantes. Pourquoi ne pas rééquilibrer avec ceux qui désireraient vivre ailleurs ?
Enfin, lorsque les Palestiniens seront unis et que Ramallah reprendra les rênes du pouvoir, il faudra bien songer à la reconstruction et au développement. C’est un point que l’on n’a pas assez mis en avant. C’est une erreur. Il faut penser à l’avenir.