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A POLITIQUE DES USA AU PROCHE ORIENT RESTERA LA MÊME

A POLITIQUE DES USA AU PROCHE ORIENT RESTERA LA MÊME
Moins de trois après sa prestation de serment, le président Obama confirme ce qu’on a toujours pensé : la continuité l’emporte sur les bouleversements. Seul le style change, or, il est bien vrai que le style , c’est l’homme. Et pour gagner les élections, il fallait bien se poser en s’opposant. Aujourd’hui, c’est chose faite, par conséquente, le nouvel élu passe aux choses sérieuses.

 

LA POLITIQUE DES USA AU PROCHE ORIENT RESTERA LA MÊME
Moins de trois après sa prestation de serment, le président Obama confirme ce qu’on a toujours pensé : la continuité l’emporte sur les bouleversements. Seul le style change, or, il est bien vrai que le style , c’est l’homme. Et pour gagner les élections, il fallait bien se poser en s’opposant. Aujourd’hui, c’est chose faite, par conséquente, le nouvel élu passe aux choses sérieuses.
Dans une allocution prononcée hier à la Maison Blanche, le nouvel élu a confirmé la nomination d’n envoyé spécial au Proche Orient (en stricte continuité avec ce qui se faisait auparavant) ; il a condamné nommément le Hamas, soutenu le droit d’Israël de se défendre et manifesté son intention d’aider à la reconstruction des zones ravagées par la guerre. C’était bien le moins. On dirait presque le service minimum.
Comment s’explique ce qui peut bien apparaître comme un revirement ?  Israéliens d’un côtés, Etats arabes modérés de l’autre ont fait savoir au nouvel élu que l’équilibre de la région était si précaire, qu’il convenait absolument d’éviter tout changement brutal. Par ailleurs, aucun de ces Etats n’a intérêt à une reconnaissance d’un mouvement armé qui les terrorise.
Ceci pour l’essentiel. Il faut à présent souhaiter du fond du cœur que la trêve cède la place à la paix.
Enocre un point, si vous le voulez bien : certains ont fait grand cas des droits de l’homme qui auraient été mis pendant la guerre qui a duré trois semaines. Or, ces voix se sont tues depuis que le Hamas règle de manière sanglante ses comptes avec les sympathisants du Fatah à Gaza, les accusant d’intelligence avec l’ennemi, donc de haute trahison. Une partie de la presse du Proche Orient parle de dizaine de ces sympathisants tués par les bandes armées du Hamas… Et là, pour ces pauvres hères, impitoyablement persécutés et tués, personne n’élève la voix… Etrange !
Si ces Palestiniens ne finissent pas admettre que divisés, ils ne pourront rien faire, quand donc arrivera la paix et avec faudra-t-il la conclure ?
On souhaite beaucoup de force et de courage à l’émissaire américain.

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