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LA PAIX AU PROCHE ORIENT : LE HAMAS, L’IRAN ET GILAD SHALIT

LA PAIX AU PROCHE ORIENT : LE HAMAS, L’IRAN ET GILAD SHALIT
Depuis le dernier papier paru dans ce blog, on apprend que les chose bougent un peu du côté du Hamas qui a enfin compris qu’il fallait se conduire  autrement et que son obstination ne servait rien, pire qu’elle pouvait renforcer l’actuel Premier Ministre d’Israël à prendre de violentes mesures unilatérales.
D’après les tractations en cours, le jeune soldat de Tsahal serait transféré en Egypte où ses parents le rendraient visite : ce point aurait été acquis (je dis bien au conditionnel) grâce à l’intervention des USA auprès des Syriens chez lesquels réside le secrétaire général du Hamas. Un échange aurait lieu tout de suite après, puisque la Syrie d’un côté, et les USA, de l’autre, se sont portés garants de leurs alliés respectifs.

 

LA PAIX AU PROCHE ORIENT : LE HAMAS, L’IRAN ET GILAD SHALIT
Depuis le dernier papier paru dans ce blog, on apprend que les chose bougent un peu du côté du Hamas qui a enfin compris qu’il fallait se conduire  autrement et que son obstination ne servait rien, pire qu’elle pouvait renforcer l’actuel Premier Ministre d’Israël à prendre de violentes mesures unilatérales.
D’après les tractations en cours, le jeune soldat de Tsahal serait transféré en Egypte où ses parents le rendraient visite : ce point aurait été acquis (je dis bien au conditionnel) grâce à l’intervention des USA auprès des Syriens chez lesquels réside le secrétaire général du Hamas. Un échange aurait lieu tout de suite après, puisque la Syrie d’un côté, et les USA, de l’autre, se sont portés garants de leurs alliés respectifs.
Ce serait une très bonne chose car cela ferait baisser la tension et couperait l’herbe sous les pieds du régime des Mollahs qui a tout intérêts à entretenir des foyers de tension dans la région. Et pas seulement ici,, mais aussi en Afghanistan où les services occidentaux sont inquiets devant la recrudescence des attentats perpétrés par les Talibans. Or, l’Iran, sans avoir intérêt à leur retour au pouvoir (qui est, de toutes façons, impossible), peut entretenir un certain niveau de tension et d’insécurité (foyer de basse intensité) pour peser sur ce qui se passe et s’inviter dans les négociations. Au début, l’inexpérience de M. Obama a donné prise à ce jeu. Depuis, les Américains ont consulté leurs alliés et se sont ravisés.
Toute la question est tout de même savoir comment va Gilad et s’il est toujours en vie. Il faut se souvenir du simulacre macabre du Hezbollah.  Je pense qu’il n’en sera rien. Qu’il n’en est rien.
Mais si cela devait être le cas, la colère et la vengeance de Benjamin Netanyahou seraient terribles. N’oublions pas qu’il a été élu pour pratiquer une politique dure.

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