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LES DANGERS DU TRAFIC AÉRIEN :

LES DANGERS DU TRAFIC AÉRIEN : LA NÉCESSITÉ D’UNE RÉGLEMENTATION MONDIALE OBLIGATOIRE
Est-ce la loi des séries ou l’approche de l’été qui nourrit les craintes et les superstitions ? Le nouveau crash de cet avion yéménite qui n’aurait jamais dû voler nous le fait croire. En un peu moins d’un moins, presque 400 victimes de crashs aériens ! inimaginable !!
Comment ls choses se sont elles passées ? Des Comoriens de Paris et de Marseille se rendent chez eux. Ils prennent depuis Roissy un avion normal, contrôlé et tout à fait aux normes. Ils doivent faire escale à Sanaa, capitale du Yémen. Et là, selon ce que l’on sait mais qu’il faut vérifier, ils changent d’avion et embraquent sur un autre appareil qui doit les emmener en bout de ligne, chez eux à Moroni, dans l’archipel des Comores. D’après les familles des victimes et les usagers de cette ligne, les conditions de sécurité sur et avion précisément, chargé de faire la soudure entre le Yémen et l’archipel, sont exécrables. D’après le ministre français des transports, cet avion était interdit de vol en France  et en métropole. Se pose alors le problème de la continuité de la sécurité des passagers : comment a-t-on pu confier nos compatriotes européens à une telle compagnie qui emploie des avions interdits de vol chez nous en Europe ?

 

LES DANGERS DU TRAFIC AÉRIEN : LA NÉCESSITÉ D’UNE RÉGLEMENTATION MONDIALE OBLIGATOIRE
Est-ce la loi des séries ou l’approche de l’été qui nourrit les craintes et les superstitions ? Le nouveau crash de cet avion yéménite qui n’aurait jamais dû voler nous le fait croire. En un peu moins d’un moins, presque 400 victimes de crashs aériens ! inimaginable !!
Comment ls choses se sont elles passées ? Des Comoriens de Paris et de Marseille se rendent chez eux. Ils prennent depuis Roissy un avion normal, contrôlé et tout à fait aux normes. Ils doivent faire escale à Sanaa, capitale du Yémen. Et là, selon ce que l’on sait mais qu’il faut vérifier, ils changent d’avion et embraquent sur un autre appareil qui doit les emmener en bout de ligne, chez eux à Moroni, dans l’archipel des Comores. D’après les familles des victimes et les usagers de cette ligne, les conditions de sécurité sur et avion précisément, chargé de faire la soudure entre le Yémen et l’archipel, sont exécrables. D’après le ministre français des transports, cet avion était interdit de vol en France  et en métropole. Se pose alors le problème de la continuité de la sécurité des passagers : comment a-t-on pu confier nos compatriotes européens à une telle compagnie qui emploie des avions interdits de vol chez nous en Europe ?
Le résultat se chiffre par plus de cent cinquante victimes ! Une seule survivante, une jeune fille de 14/15 ans qui a miraculeusement échappé à la catastrophe.
La colère gronde dans la communauté comorienne en France, qui prévoit de manifester contre la compagnie yéménite en question.  Je les comprends, mais ce qui serait plus efficace, c’est d’œuvrer en faveur d’une réglementation mondiale absolue.
Quand un avion est interdit de vol quelque part il doit l’être partout dans le monde. Car la vie humaine a le même prix partout.

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