Un dimanche matin, a la gare routiere de Beer Sheva
Parti chercher de jeunes nieces a Beer Sheva, j arrive 0 la gare routiere et je trouve des dizaines et des dizaines de solkdats armes qui rentrent dans leurs casernes et s en retournent a leurs bases. Ce qui ne frappe le plus, c est le nonre d armes portees en bandouleire par les solats encore i;berbes.
Mais ce qui a le plus retenu mon attention, c est la presence de deux jeunes soldates, membres des unites d elite, portant sur la poitrine des cartouchieres et sur la tete des chapeaux portes par les commandos durant leurs patrouilles< Sur leur dosm je distingue nettement le casque lourd. Etonnant. Je les regarde deux fois car elles sont passees deux fois: le meme sourire, la meme demarche a la fois gracieuse et sportive.
Mais mes deux passageres ne sont toujours pas la. Reensignements pris, il y a une alerte a la bombe. Du coup, toute la gare routiere est bloquee, nul n entre et nul ne sort. Phlegmatiques, les conducteurs de bus ne disent rien, ils signalent qu ils font une petite pause. Pas d affolement, pad de febrilite particuliere. Les soldats continuent de croiser les femmes de Bedouins dans la gare, les soldats se hatent, aucune nervosite n est visible.
Curieux pays, curieux soldats, si jeunes et si confiantes alors au ils portent sur eux de redoubales armes.
Et ou est la paix dans tout cela?