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LADY DIANA : DIX ANS DEJA.

LADY DIANA : DIX ANS DEJA.
Je me souviens, comme si c’était hier, de l’annonce de la mort de Lady Diana dans des circonstances tragiques, à Paris, à la fin du mois d’août. Cela fait déjà dix ans. Si j’en parle ce matin ici, c’est parce que j’ai pu voir  hier une émission sur la chaîne française Antenne 2 qui lui a été consacrée. En soi, l’émission, remarquablement préparée et présentée, n’apportait pas de révélations renversantes. Mais j’ai pu découvrir des aspects étonnants du caractère de la défunte princesse  que j’ignorais…
Le journaliste qui a présenté et animé l’émission voulait insister sur un  point, passé presque inaperçu du grand public : la défunte princesse aimait en réalité un médecin pakistanais rencontré fortuitement dans un hôpital de Londres et avec lequel elle rêvait de refaire sa vie. Il semblerait qu’après quelque temps d’une grande passion, leur idylle ait été découverte, les exposant à l’insatiable curiosité des photographes. Le médecin pakistanais s’en serait offusqué et aurait rompu avec la princesse. Livrée à elle-même, celle-ci aurait accepté l’invitation du magnat égyptien al-Fayyed à passer quelques jours sur son yacht… C’est seulement après que le fils de ce dernier entre en scène.
Ce qui est étonnant dans l’affaire, c’est que la princesse aurait voulu par toutes ces photos et ces passages à la télévision exciter la jalousie du pakistanais dont elle était amoureuse afin qu’il lui revienne… Mais alors comment comprendre que le fils al-Fayyed qui n’aurait été (si j’ai bien compris) qu’un simple pion dans le jeu de cette femme, ait, en si peu de temps, conçu des projets sur le long terme avec celle qui est inévitablement la mère d’un futur roi d’Angleterre ?

LADY DIANA : DIX ANS DEJA.
Je me souviens, comme si c’était hier, de l’annonce de la mort de Lady Diana dans des circonstances tragiques, à Paris, à la fin du mois d’août. Cela fait déjà dix ans. Si j’en parle ce matin ici, c’est parce que j’ai pu voir  hier une émission sur la chaîne française Antenne 2 qui lui a été consacrée. En soi, l’émission, remarquablement préparée et présentée, n’apportait pas de révélations renversantes. Mais j’ai pu découvrir des aspects étonnants du caractère de la défunte princesse  que j’ignorais…
Le journaliste qui a présenté et animé l’émission voulait insister sur un  point, passé presque inaperçu du grand public : la défunte princesse aimait en réalité un médecin pakistanais rencontré fortuitement dans un hôpital de Londres et avec lequel elle rêvait de refaire sa vie. Il semblerait qu’après quelque temps d’une grande passion, leur idylle ait été découverte, les exposant à l’insatiable curiosité des photographes. Le médecin pakistanais s’en serait offusqué et aurait rompu avec la princesse. Livrée à elle-même, celle-ci aurait accepté l’invitation du magnat égyptien al-Fayyed à passer quelques jours sur son yacht… C’est seulement après que le fils de ce dernier entre en scène.
Ce qui est étonnant dans l’affaire, c’est que la princesse aurait voulu par toutes ces photos et ces passages à la télévision exciter la jalousie du pakistanais dont elle était amoureuse afin qu’il lui revienne… Mais alors comment comprendre que le fils al-Fayyed qui n’aurait été (si j’ai bien compris) qu’un simple pion dans le jeu de cette femme, ait, en si peu de temps, conçu des projets sur le long terme avec celle qui est inévitablement la mère d’un futur roi d’Angleterre ?
Il ne s’agit pas ici de porter des jugements. Cette femme est morte dans la fleur de l’âge, adulée de la terre entière, comme une icône. Elle est plus à plaindre qu’à blâmer. Elle a fait un mariage qui fut tout sauf heureux, se retrouva toute seule ou presque et se comporta parfois d’une façon que son profond désarroi peut excuser…
Ce qui m’a frappé au plus haut point, c’est de découvrir qu’elle envoyait à son amoureux des messages où elle lui demandait s’il avait vu où elle se trouvait, s’il voulait revenir… En somme, rendre jaloux un homme qu’on aime en s’affichant avec un autre, dans l’espoir que le premier revienne alors que le second n’aura servi que d’appât… Etrange.
En tout état de cause, cette femme aura laissé dans la mémoire des gens un souvenir inoubliable, une sorte de princesse sortie d’un conte de fées mais qui se termina tragiquement. Dommage, car sur tous les plans elle méritait bien mieux. Sa beauté, sa grâce et sa jeunesse  n’ont pas suffi pour lui garantir un bonheur auquel elle avait droit.

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