Eric Woerth et l'affaire Bettencourt
Notre chère chère Tribune est revenue hier sur l'affaire. Oui, l'affaire du siècle, dirait-on. Hier matin, alors que nous revenions par train de Genève, un mai me tend la Tribune de Genève où je lis un éditorial assez virulent de notre ami Jean-Noël Cuenod, correspondat du journal à Paris.
Pourquoi q'acahrner ainsi? Certes, il y eut au moins une rreur et au moins une imprudence, mais rien de bla^mable au plan pénal ni rien qui justifie une brusque démission. En revanche, il est quais sûr que l'homme, si honnête soit-il, ne fer pas partie du présent gouvernement. Ce n'est pas moi qui décide mais l'opinion ne le comprendrait guère après une telle avalanche de critiques.
Lorsque cette affaire, à l'origine familiale, sera achevée, on appréhendera enfin les différentes questions qu'elle pose de manière objective/ Prenons quelques exemple:
l'affaire de la distinction honorifique. C'est le travail de tous les élus, de toutes les personnalités jouissant de quelque notoriété que ce soit, de proposer à de terlles nominations ou promotions. Vous n'imaginez pas ce que cela représente pour les Français ce petit ruban rouge ou cette petite étoile de même couleur pour les Français. En outre, la grande chancellerie est là pour veiller au bon ordre ordre des choses.
Enfin, le point le plus important: quel est le statut des femmes dont le mari siège au gouvernement? Je rappelle le cas d'Anne Sinclair, obligée de démissionner de la télévision quand son mari Dominique Strauss Kahn fut nommé ministre. Plus proche de nous, Madame Béatrice Schoenberg, épouse de M. Jean-Louis Borloo, qui a changé d'affectation pour abaondonner une émission politique et se rabattre sur tout autre chose.
Est-ce aux femmes de toujours se sacrififer pour la carrière des maris.
Tant d'autress questions se posent que nous traiterons une fois la sérénité retrouvée...