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L’extrême droite, l’iimmigration et l’identité nationale

L’extrême droite, l’iimmigration et l’identité nationale

 

Voici une triade qui a toutes les chances de dominer les prochaines consultations électorales non seulement en Suisse et en France mais dans l’ensemble de l’Europe. Pour quelle raison ? Pour une raison qui porte un nom et un seul : l’Islam.

Ce n’est pas en raison de l’essence religieuse de l’islam proprement dit mais suite aux dégâts causés à l’islam par son frère jumeau qui lui dispute sa place dans les media, l’islamisme.

J’avais commis une petite erreur, en toute bonne foi, en faisant paraître mon livre intitulé en 2008 Renan, la Bible et les Juifs (Paris, Arléa). J’y avais notoirement sous estimé le fait suivant : Ernest Renan parlait presque toujours d’islamisme au lieu de dire l’islam. Il m’avait alors semblé qu’il imitait la désinence ISME pour que le nom de cette religion consonne avec les deux qui l’avaient précédée, judaÏSME et christianISME.

En fait, il n’en était rien, le célèbre orientalisme français visait déjà les excès politique du mouvement appelé aujourd’hui l’islam radical…

Lors de la visite en Andalousie, on a pu constater de visu que certaines revendications sur ce territoire n’étaient pas complètement évanouies. Reste que l’immigration constitue pour les peuples d’Europe un grave défi actuellement, même si dans les décennies à venir notre continent aura besoin d’un apport humain de quelques millions d’hommes et de femmes. Le problème est que les réservoirs humains actuels regorgent de candidats à l’immigration : il y a en Afrique près de huit cent cinquante millions d’âmes qui rêvent, pour la plupart, d’aller ailleurs.

Reste le problème de l’identité des peuples. Comment intégrer, comment assimiler des gens venus d’horizons si différents. Il faut prévoir un mécanisme graduel d’intégration. Les gouvernements d’Europe s’y mettent petit à petit ; il convient de mettre l’accent sur trois choses : l’apprentissage de la langue, l’égalité des femmes et des hommes et le refus absolu de tout exclusivisme religieux.

Chaque religion est excellente pour ses adeptes. Mais aucune n’est supérieur à l’autre.

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