En Espagne: Voyage à Madrid, Tolède, Carceres et Salamanque
Lorsque l'avion d'Easy jet se posait ce matin vers midi, je sors le premier de l'appareil et découvre un soleil éclatant, au sein même de l'aéroport. Dehors il fait un peu froid mais le soleil brillait. Je m'engouffre dans un taxi qui doit me conduire à Tolède où m'attendent Danielle et Mickaël. J'y arrive à moitié mort de peur en raison de la conduite trop rapide de la chauffeur (e) du taxi. Pendant une heures, je ne desserre pas les lèvres; cela tombe bien, la conductrice ne parle pas un mot de français, d'anglais ni d'allemand.
Le paradore de Tolède est magnifique, situé sur une hauteur avec une vue imprenable sur la ville. Mais le temps presse il faut aller à Cercere, une ville médiévale dont je n'ai jamais entendu parler mais qui abrite un atrio de réputation mondiale, serti de vieilles pierres, mais surtout avec un resturant ayant deux étoiles au Michelin. Arrivé sur place nous nous retrouvons dans des ruelles étroites à peine carrossables mais dans un hôtel d'une excpetionnelle beauté.Il a cinq étoiles et fait partie des relais & châteaux.
Nous sortons nous promener, je cherche désespérément des cigares comma jadis à Madrid, car ici ils valent moins cher qu'à Genève et Paris. Mais j'en trouve à l'hôtel à des prix raisonnables. C'est toujours ça de fait.
La vielle ce Carcere recèle des tésors architecturaux, desplaces merveilleuses, une populations toujours souriante et des serveurs de café d'une affabilité anti parisenne, je ne parle pas de Genève où tout le monde est gentil, suaf quelques universitaires jaloux et ou frustrés.
Nous alllons dîner à CArcere dans un petit restaurant ypique avec des tapas et des anchois comme seuls les Esoagnols savent lespréparer.
Mais n'allez pas croire que je passe mon temps à me tourner les pouces: j'ai achevé deux ouvrages qui doivent paraître entre mars et juin.
A bientôt depuis le sud (merveilleux) de l'Espagne