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Lectures de vacances...

Lectures de vacances

Depuis plus de quatre décennie, je lis en majorité des livres de philsophie. Ces vacances de Pâque j'ai décidé de n'emporter avec moi en Israël que des livres de littérature, et notamment les nouvelles de Stefan Zweig , notamment Vingt quatre heures de la vie d'une femme, Amok et Angoisses ainsi que Le joueur d'échecs, d'une part, et d'autre part une nouvelle d'Agon, Tehilla.

 

Evidemment l'univers menral et imaginaire n'est pas vraiment celui d'Agon qui m'a envoûté en ressuscitant pour ses lecteurs l'univers de la ville de Jérusalem du temps du mandat britannique.

Mais Zweig metouche beaucoup. J'en avais parlé à  l'ambassade d'Autriche à Paris lorsque l'ambassadeur M. CESSKA meécora du Grosses Ehrenzeichen. Ce soir là j'évouqai le cas de  Josef Roth... Et notamment son livre le poids de la grâce. Très beau roman.

Mais j'avoue que le passa de la nouvelle de Zweig (Vingt-quatre heures) à Tehilla, représente le passage d'un monde à un autre... Mais tout de même, un jour, si me loisirs sutideux m'en donnent l'occasion je parlerai du rapport de Stefan Zweig avec le judaïsme..

Après tout il a rencontré Herzl à Vienne, il abeaucop publié dans la Neue Freie Presse du même Herzl et c'est MArtin Buber qui publia dans Die Welt sa nouvelle Dans la neige (Im Schnee).

Et à la mort de son ami et compatriote et coreligionnaire Roth il envoya un message lors de 'enterrement: il ne pouvait pas acccepter qu'un prêtre catholique officie lors des obsèques d'un juif...

Avait il raison? Je le pense, avec tout le respect pour nos frères chrétiens.

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