Comment écrire sur le carnage de Charlie Hebdo et de l’épicerie cacher du cours de Vincennes ?
Les amis, les internautes habitués à me lire s’étonnent devant mon silence, suite aux attaques terroristes, opérées par des islamistes au cœur même de la capitale française ? En fait, je ne sais que dire tant l’énormité du crime me paralyse. Existe t il des mots pour rendre compte de la stupeur, de la sidération d’un texte abominable ? Dans cette terrible dévastation une seule chose me console : le réveil, la statut debout du peuple de France, le vrai, l’authentique, celui qui n’est pas de papier mais de cœur et de vie ; qui assume l’histoire de cette grande nation judéo-chrétienne, accueillante, universaliste, tolérante. Elle a rejeté loin d’elle un groupe d’énergumènes qui sont rien à voir avec elle. La marche majestueuse qu’elle a organisée en atteste. Comme par hasard, eu égard à l’absence de voyous et de casseurs, il ne s’est rein passé et chacun est rentré chez lui calmement alors que généralement la casseurs des banlieues assombrissaient la fin des manifestations. Mais cette marche était une marche, ce n’était pas une manifestation. Il y aura un avant et un après 11 janvier 2014. La meilleure preuve en est que les gens, enfin débarrassés d’éléments étrangers, chantaient la Marseillaise. Rendez vous combien on était tombé bas : nul n’osait plus chanter la Marseillaise. Ceux qui croyaient la France sans fils ni héritier se sont trompés. Heureusement.