La pandémie a une métaphysique qui nous échappe souvent…
Derrière ce titre un peu mystérieux ne se cache nullement je ne sais quelle lecture théologique de la maladie. Je commence par couper court à ce premier malentendu. Et pour bien enfoncer le clou je précise ceci : pour combattre un virus, l’arme la plus adéquate n’est autre que l’antiviral et pour une bactérie un antibactérien… Ce que je vise à esquisser, mais non à démontrer car cela excède mes forces, c’est que ne nous apparaissent, comme la partie émergée de l’iceberg, que les symptômes mesurables, visibles et détectables.