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Terrorisme et démocratie

    Un article du Monde signé par Daniel Vernet, paru au début de cette semaine, revient sur la guerre d'Irak et l'idéologie des néoconservateurs américains.

    C'est un fait établi depuis bien longtemps que les Français en général ne partagent pas à l'égard des USA, la même admiration et le même jugement positif que le nouveau président de la République. Mais tout de même! Pourquoi s'acharner à vouloir démontrer que le président Bush a eu tort d'envahir l'Irak dès qu'explose la première bombe à Bagdad? 

    C'est en réalité une œuvre de longue haleine que le président amricain a entrepris. Son raisonnement initial était et reste juste: le terrorisme doit être combattu à la racine; il faut imposer la démocratie, notamment au Proche Orient, foyer endémique de troubles en raison des tensions internationales…  Il existe forcément une relation de cause à effet la dictature ou la tyrannie d'une part, et l'arriérisme et le terrorisme d'autre part.

    Certes, personne ne recherche la guerre pour la guerre. Et, ne l'oublions pas, le terrorisme d'al-Qaida s'est presque tari, il est résiduel, ce sont les opposition interreligieuses et interethniques qui expliquent les attentats qui se produisent à présent en Irak.

    Même si leurs arrières-pensées financières et économiques ne sont pas absentes, les USA ont fait preuve de courage et d'esprit de sacrifice en investissant tant d'hommes et de moyens en Irak et en Afghanistan. Où serions nous si nous les avions pas ? 

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