Le Hezbollah, encore…
Un honorable lecteur me demande pourquoi je souligne que le mouvement chi’ite prend ses ordres à Damas et à Téhéran, sans dire que la «majorité antisyrienne prend, elle, ses ordres à Washington.» (sic)
La réponse est simple : le gouvernement légal du Liban, dirigé jusqu’à nouvel ordre par Monsieur Fouad Siniora, décide comme il l’entend. Il est le dépositaire de la volonté populaire. S’il estime que l’intégrité territoriale et la sécurité du Liban sont bien assurées ainsi, libre à lui. Si on n’est pas d’accord, et ce serait normal dans un régime démocratique, eh bien, il faut voter contre aux prochaines élections.
Mais à quoi assistons nous ? Des efforts redoublés du même camp qui veut rompre le cadre de la légalité libanaise : a-t-on jamais une milice illégale, mieux armée que l’armée régulière, décider de la paix et de la guerre, provoquer une vértiable ruine de son propre pays pour complaire à d’anciens occupants du pays qui n’ont pas encore digéré leur évacuation forcée ? A-t-on jamais vu une milice qui quadrille militairement tout un quartier d’une capitale (Beyrouth ouest) et provoquer de sanglants affrontements qui font des victimes ? A-t-on déjà vu une milice illégale s’emparer des rédactions de télévisions et de journaux d’autres partis politiques afin de les réduire au silence après les avoir mis à sac ? Et la liste serait longue… et on ne parle pas des attaques à l’encontre des attributs de la souveraineté libanaise qui font de cette milice illégale un status im statu…
L’intérêt du pays du Cèdre est de vivre comme il l’entend, de faire la paix avec qui il veut, de veiller sur la sécurité de ses citoyens sans qu’ils soient espionnés dans leurs déplacements et que leurs communications téléphoniques soient écoutées…
Il y a au Liban place pour tout le monde, tous ceux qui veulent coexister en paix avec leurs voisins.… Mais pour y parvenir, a-t-on le droit de bloquer les voies terrestres menant à l’aéroport ? Alons ! Un peu de bon sens et tout rentreta dans l’odre. Mais quelle tristesse pour les victimes et leurs familles.
Un honorable lecteur me demande pourquoi je souligne que le mouvement chi’ite prend ses ordres à Damas et à Téhéran, sans dire que la «majorité antisyrienne prend, elle, ses ordres à Washington.» (sic)
La réponse est simple : le gouvernement légal du Liban, dirigé jusqu’à nouvel ordre par Monsieur Fouad Siniora, décide comme il l’entend. Il est le dépositaire de la volonté populaire. S’il estime que l’intégrité territoriale et la sécurité du Liban sont bien assurées ainsi, libre à lui. Si on n’est pas d’accord, et ce serait normal dans un régime démocratique, eh bien, il faut voter contre aux prochaines élections.
Mais à quoi assistons nous ? Des efforts redoublés du même camp qui veut rompre le cadre de la légalité libanaise : a-t-on jamais une milice illégale, mieux armée que l’armée régulière, décider de la paix et de la guerre, provoquer une vértiable ruine de son propre pays pour complaire à d’anciens occupants du pays qui n’ont pas encore digéré leur évacuation forcée ? A-t-on jamais vu une milice qui quadrille militairement tout un quartier d’une capitale (Beyrouth ouest) et provoquer de sanglants affrontements qui font des victimes ? A-t-on déjà vu une milice illégale s’emparer des rédactions de télévisions et de journaux d’autres partis politiques afin de les réduire au silence après les avoir mis à sac ? Et la liste serait longue… et on ne parle pas des attaques à l’encontre des attributs de la souveraineté libanaise qui font de cette milice illégale un status im statu…
L’intérêt du pays du Cèdre est de vivre comme il l’entend, de faire la paix avec qui il veut, de veiller sur la sécurité de ses citoyens sans qu’ils soient espionnés dans leurs déplacements et que leurs communications téléphoniques soient écoutées…
Il y a au Liban place pour tout le monde, tous ceux qui veulent coexister en paix avec leurs voisins.… Mais pour y parvenir, a-t-on le droit de bloquer les voies terrestres menant à l’aéroport ? Alons ! Un peu de bon sens et tout rentreta dans l’odre. Mais quelle tristesse pour les victimes et leurs familles.