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MARIE-GEORGES BUFFET, SECRÉTAIRE NATIONALE DU PCF

 

MARIE-GEORGES BUFFET, SECRÉTAIRE NATIONALE DU PCF
    Sauf vouloir être tr !s désobligeant envers une dame, on doit bien se souvenir de la phrase suivante d’Albert Einstein : les savants ont utiles à la science la première moitié de leur vie et nuisible dans l’autre… L’éminent savant faisait allusion à cette propension de la nature humaine à s’accrocher aux honneurs et à la notoriété, au pouvoir, en somme, même quand l’intérêt bien compris des choses commande qu’on le remette en d’autres mains.
    Cette bonne Madame Buffet aurait dû en profiter pour passer la main ; avec moins de deux pour cent aux élections présidentielles, et une élection plus que difficile au siège de député (dans une circonscription ouvrière, pourtant), les choses auraient dû s’imposer clairement. Triste constat ! aucun homme ayant un jour exercé le pouvoir n’a jamais voulu le rendre tant qu’il pouvait le garder. Peut-être Marc-Aurèle, peut-être le général de Gaulle…
    Ce n’est pas faire injure aux communistes que de dire que leur parti est depuis longtemps l’ombre de lui-même et que son seul espoir gît dans une refondation. Mais voilà le gente dame a écarté tous ceux qui représentaient un danger pour elle. Elle préfère laisser un parti absolument exsangue, impossible à réanimer.
    Olivier Besancenot doit dire merci à Madame Buffet
   
 

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