Bark OBAMA, Président des USA
LE FUTUR SACRE DE BARAK OBAMA
Le nouveau président américain va bientôt entrer en fonctions et nous lui souhaitons à cette occasion une mandature heureux, propice à la prospérité de son pays et bénéfique à la paix dans le monde. Cependant, les développements qui ont suivi immédiatement son élection permettent de se poser quelques questions sur les capacités du nouvel élu, ses intentions profondes et sa marge de manœuvre. N’y voyez aucune malice, mais certains faits troublants nous intriguent.
D’abord, la constitution du cabiner : le nouveau président a repris une bonne partie des Clintoniens, gens d’expérience et de qualité, mais l’on se demande comment un candidat à la présidence des USA n’a pas eu d’idée personnelle au point d’accepter les choix que son parti a faits pour lui. Les gens se demandent qui a gagné les primaires démocrates : est-ce M. Obama, devenu président ou Hillary Clinton par l’intermédiaire de son mari. On se demande aussi comment va fonctionner l’attelage Hillary / Obama, surtout si l’ancienne première dame entretient l’idée d’une revanche.
Mais il y encore plus surprenant : le candidat qui ne dominait pas entièrement les sujets qu’il abordait. Campagne électorale oblige. Aujourd’hui, il reconnaît que le Hezbollah et le Hamas sont des entités terroristes, que l’Iran ne doit pas avoir la bombe atomique, que la situation économique est plus grave que prévu, etc…
Mais que disait le candidat avant d’être élu ? Qu’il entendait faire une déclaration adressée solennellement au monde arabo-musulman, qu’il entendait parler avec l’Iran, etc…
Les événements se produisaient dans certaines régions sensibles de l’univers lui ont montré qu’il fallait être prudent. Il met désormais ses pas dans les brisées de ses prédécesseurs. Et l’Iran, ayant entendu ses nouvelles déclarations, a déjà brûlé des placards à son effigie… Attendons pour voir, ce président nous surprendra peut-être. Comme disent certains amis du PS : on n’est jamais à l’abri de bonnes surprises…
Nous ferions tous bien de méditer cette sagace réflexion du Dr Henry Kissinger, esprit rassis et fort : tous les présidents américains ont voulu changer le monde, mais certains se conduisent parfois comme s’ils l’avaient créé. Ou une réflexion d’Aristote : ne pouvant changer les réalité du monde, je dois changer mon opinion sur le monde…
LE FUTUR SACRE DE BARAK OBAMA
Le nouveau président américain va bientôt entrer en fonctions et nous lui souhaitons à cette occasion une mandature heureux, propice à la prospérité de son pays et bénéfique à la paix dans le monde. Cependant, les développements qui ont suivi immédiatement son élection permettent de se poser quelques questions sur les capacités du nouvel élu, ses intentions profondes et sa marge de manœuvre. N’y voyez aucune malice, mais certains faits troublants nous intriguent.
D’abord, la constitution du cabiner : le nouveau président a repris une bonne partie des Clintoniens, gens d’expérience et de qualité, mais l’on se demande comment un candidat à la présidence des USA n’a pas eu d’idée personnelle au point d’accepter les choix que son parti a faits pour lui. Les gens se demandent qui a gagné les primaires démocrates : est-ce M. Obama, devenu président ou Hillary Clinton par l’intermédiaire de son mari. On se demande aussi comment va fonctionner l’attelage Hillary / Obama, surtout si l’ancienne première dame entretient l’idée d’une revanche.
Mais il y encore plus surprenant : le candidat qui ne dominait pas entièrement les sujets qu’il abordait. Campagne électorale oblige. Aujourd’hui, il reconnaît que le Hezbollah et le Hamas sont des entités terroristes, que l’Iran ne doit pas avoir la bombe atomique, que la situation économique est plus grave que prévu, etc…
Mais que disait le candidat avant d’être élu ? Qu’il entendait faire une déclaration adressée solennellement au monde arabo-musulman, qu’il entendait parler avec l’Iran, etc…
Les événements se produisaient dans certaines régions sensibles de l’univers lui ont montré qu’il fallait être prudent. Il met désormais ses pas dans les brisées de ses prédécesseurs. Et l’Iran, ayant entendu ses nouvelles déclarations, a déjà brûlé des placards à son effigie… Attendons pour voir, ce président nous surprendra peut-être. Comme disent certains amis du PS : on n’est jamais à l’abri de bonnes surprises…
Nous ferions tous bien de méditer cette sagace réflexion du Dr Henry Kissinger, esprit rassis et fort : tous les présidents américains ont voulu changer le monde, mais certains se conduisent parfois comme s’ils l’avaient créé. Ou une réflexion d’Aristote : ne pouvant changer les réalité du monde, je dois changer mon opinion sur le monde…