LES GRÈVES EN France : ENCORE ET ENCORE
Une chose et une seule repart en France : ce n’est pas la relance, l’optimisme ni la joie. Mais les journées d’action, entendez les grèves. Nous allons d’une grève à l’autre. Lorsque j’étais jeune étudiant, il y avait un grand éditorialiste au journal Le Monde, qui était jadis le meilleur quotidien national français, qui avait écrit que râler (être toujours mécontent) était le sport national des Français. Aujourd’hui, ils ont enrichi leur répertoire d’un élément nouveau : la grève. C’est absolument désespérant. Mais comment faire pour changer cette situation ? J’avoue que je n’en sais rien.
Certes, il y a des difficultés sérieuses, des pertes d’emploi, des comportements de certains employeurs (Total, Continental etc…) qui sont inacceptables, bref une situation d’ensemble qui n’est guère encourageante. Toutefois, au lieu de s’unir pour triompher des difficultés, une grande partie du monde laborieux opte pour une stratégie de l’affrontement et de la confrontation. Et cela donne des grèves et un affaiblissement général du pays.
LES GRÈVES EN France : ENCORE ET ENCORE
Une chose et une seule repart en France : ce n’est pas la relance, l’optimisme ni la joie. Mais les journées d’action, entendez les grèves. Nous allons d’une grève à l’autre. Lorsque j’étais jeune étudiant, il y avait un grand éditorialiste au journal Le Monde, qui était jadis le meilleur quotidien national français, qui avait écrit que râler (être toujours mécontent) était le sport national des Français. Aujourd’hui, ils ont enrichi leur répertoire d’un élément nouveau : la grève. C’est absolument désespérant. Mais comment faire pour changer cette situation ? J’avoue que je n’en sais rien.
Certes, il y a des difficultés sérieuses, des pertes d’emploi, des comportements de certains employeurs (Total, Continental etc…) qui sont inacceptables, bref une situation d’ensemble qui n’est guère encourageante. Toutefois, au lieu de s’unir pour triompher des difficultés, une grande partie du monde laborieux opte pour une stratégie de l’affrontement et de la confrontation. Et cela donne des grèves et un affaiblissement général du pays.
On avait dit jadis qu’on a en France la droite la plus bête du monde. La phrase ne vient pas de moi. On devrait ajouter que l’on a en France les syndicats et une gauche les plus conformistes au monde.
Qui aurait pu prévoir les effets dévastateurs de cette crise qui semble devoir s’éterniser car il faut être un grand rêveur pour adhérer au diagnostic optimiste du président de la Réserve Fédérale qui pronostique la reprise pour la fin de l’année. Cela me fait penser à un premier ministre socialiste français qui disait voir le bout du tunnel…
Nous devons avoir une plus grande dose d’individualisme et ne pas impliquer l’Etat en tout et partout. Je pense à une phrase du président John Fr. Kennedy qui disait : ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous mais ce que vous, vous devez faire pour lui…
Mais, dans le pays du social-étatisme, cette phrase est passée de mode.