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LA FUSILLADE DE LA BANLIEUE

LA FUSILLADE DE LA BANLIEUE
Que s’est-il vraiment passé l’autre jour lorsque les policiers furent attirés dans un véritable guet-apens par des malfaiteurs de banlieue qui voulaient  en découdre avec eux et menacer leur intégrité physique ?
D’après les rapports parus dans la presse, le véhicule des forces de l’ordre fut d’abord touché aux pneus, comme si on voulait l’immobiliser ; et c’est ensuite que des rafales de AK 47 furent tirées sur la carrosserie et le pare-brise. Il s’agit d’un acte criminel à l’arme de guerre, certes, dans des banlieues considérées comme chaudes, mais tout de même. L’affaire aurait pu se solder par des morts

LA FUSILLADE DE LA BANLIEUE
Que s’est-il vraiment passé l’autre jour lorsque les policiers furent attirés dans un véritable guet-apens par des malfaiteurs de banlieue qui voulaient  en découdre avec eux et menacer leur intégrité physique ?
D’après les rapports parus dans la presse, le véhicule des forces de l’ordre fut d’abord touché aux pneus, comme si on voulait l’immobiliser ; et c’est ensuite que des rafales de AK 47 furent tirées sur la carrosserie et le pare-brise. Il s’agit d’un acte criminel à l’arme de guerre, certes, dans des banlieues considérées comme chaudes, mais tout de même. L’affaire aurait pu se solder par des morts…
Il semblerait que des trafiquants en tous genres (drogues, marchandises volées, trafic et autres) aient voulu éloigner la police de leurs lieux de travail (pour ainsi dire) et défendre leur territoire. Pour ce faire, ils n’ont pas hésité à utiliser des armes de guerre.
Evidemment, dès le lendemain, les forces de l’ordre ont réinvesti la place mais disposent, pour l’instant, de maigres indices. Mais force est restée à la loi. La moindre démission, le moindre signe de faiblesse des forces de l’ordre, serait fatal.
Il faut absolument reconquérir ces banlieues laissées à l’abandon depuis des décennies. IL y a quelques semaines, je faisais une visite dans un lieu situé en Seine  Saint-Denis où plus de trente nationalités sont présentes. La plupart des habitants ne souhaitent qu’une chose : vivre en paix et assurer un avenir à leurs enfants.
Mais ce qui m’a frappé aussi, c’est la présence de jeunes Français dans des zones pavillonnaires où le mètre carré est nettement moins cher qu’à Paris. Il y a donc un retour de  ce qu’on nomme les BO-BO dans ces quartiers qui, à la faveur d’une rénovation intelligente, se repeuplent… Ces jeunes couples ont aussi des enfants qui doivent être scolarisés, d’où un relèvement du niveau à l’école.
Si l’on veut une meilleure harmonie sociale, il faut renforcer les pouvoirs et les moyens du ministère de la ville… C’est la meilleure manière d’isoler les criminels qui introduisent des armes de guerre dans des zones d’habitation civile…

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