rencontre avec le cousin germain de l ecrvain amos oz
se matin, apres le petit dejeuner ma mitspeh ha mayim je demande a un monsieur dun certain age s il veut bien m aider a translitterer le clavier de l hebreu a l anglais. Il s exevcute de bonne grace, mais il voit au dessus de mon epaul le signle de la Tribune de Geneve.
Poli mais un peu intruiguem il me demande si je suis un journaliste, et s attendant a une reponse postive, il me prie d ecrire de bonnes choses sur Israel. Je reponds que je n ai pas l honneur d etre de la corporation des journalistes mais que j e cris generalement des choses justes et bonnes sur Israel, tout en etant un homme qui reflechit par lui meme.
La reponse plait au :onsieur qui tient a connaitre ma profession. Je dis que je suis professeur des universites. Quelle disicpline, demande t il? Philosophiem repondis je. Mon coin, ajoute t il, est professeur de litterayure dans ce paysm en Israel>
A mon tout, je demande: et comment s appelle votre cousin? Amos Oz, me dit il>
Evidemment, j arrete de rediger mom blog. Danielle arrive sur ces entrefaites et marqye qu Monsieur l ad;iration qu elle porte au grand ecrivain dont eklle a lu tous les livres en traduction frncaidse, notamment le dernier, Histoires d amour et de tenbres.
L homme joute: Je suis le cousin germain d Amos qui souvent de ma mere qui etait sa tante SONIA. Elle etait la soeur de sa mere. Oui, nos meres etaient soeurs..
Avant de nous eaprer pour aller ;anger, je dis au Monsieur que j aime bien la litterature de Amos Oz mais que je ne partage ses idees politiaues. Le cousin me rqssure; aores avoir dit qu ilqd;irait le purete et la correction de mon hebreu parle, il me dit que son cousin a souvent varie en matiere politiaue et aun jour ou l autre, il faussera co;apgnie a ses a;is de gauche.
A table, Danielle me rappelle que la mere d4Amos Oz s etait suicidee et que tante SONIA. la mere du Monsieur en fut bouleversee. Elles etaient tout le temps enseble<
Curieux pays