France-Télécom : le coût d’une restructaurti
La nouvelle est tombée comme un couperet : un nouveau suicide chez France-Télécom. On en est à 24 en dix-huit moi,s si je ne me trompe. C’est grave et c’est triste, mais il faut se garder de tout jugement rapide. Nous présentons, avant tout, nos sincère condoléances aux familles éprouvées, et notamment à celle qui vient d’être touchée.
On peut restructurer une entreprise, c’est normal, mais les êtres humains qui y travaillent ne sont pas des pions que l’on déplace en se focalisant uniquement sur les réalités du mangement. Il faut plus de dialogue et plus de concertation.
Il semble que le PDG ait compris car il a suspendu toutes les mesures qui ont créé cette situation.
C’est un problème extrêmement grave et très préoccupant. Il est difficile d’en parler, mais ne pas en parler serait pire. Les mutations automatiques au bout de trois ou quatre ans sont faire l’objet d’une concertation car les hommes et les femmes qui travaillent dans cette entreprise ont eux aussi des besoins, des obligations familiales, en une phrase des liens qui les rattachent à un endroit ou à un autre.
Du fond du cœur, nous espérons que la raison et l’humanité l’emporteront. Même pour la rentabilité de l’entreprise, l’ambiance doit changer. Faute de quoi, cela ira de mal en pis. Et personne ne souhaite un tel scénario.