Où en est le président Obama ?
Décidément, la crise économico-financière ne permet plus aux hommes politiques, fussent-ils les plus puissants au monde, de traduire dans les faits leur politique. Nous en voulons pour preuve les hésitations du président Obama dont le fameux slogan Yes we can ! est entré en déliquescence. Qu’en reste-t-il ? Plus grand’ chose.
Prenons un autre exemple, en politique étrangère : l’envoi ou non de nouvelles troupes en Afghanistan. L’hôte de la Maison Blanche ne sait plus vraiment ce qu’il doit faire. Et voilà que pour accroître un embarras déjà grand, on lui offre le prix Nobel de la paix. On n’a encore jamais vu une telle réaction à un tel prix, le plus prestigieux qui soit. Eh bien, le porte-parole personnel de ce président a fait une déclaration disant que tout en acceptant ce prix Nobel, le président devait aussi veiller à assurer la sécurité de ses concitoyens américains…
En d’autres termes, on prend enfin conscience que l’hyperpuissance que sont les USA ne peut pas se permettre de jouer au pionnier de la paix dans le monde, au respect des droits de l’homme etc…
Comment va évoluer la politique américaine ? Sur l’Afghanistan, on le voit, elle va poursuivre la politique de Georges Walker Bush ; sur le Proche Orient, on ne voit plus rien puisque le président hésite désormais à faire pression sur Israël puisque tout Washington lui a fait comprendre qu’il risquait de se retrouver bien seul en réclamant le gel des implantations.
Il est très difficile de tenir ses promesses électorales quand on est au pouvoir.
Où en est le président Obama ?
Décidément, la crise économico-financière ne permet plus aux hommes politiques, fussent-ils les plus puissants au monde, de traduire dans les faits leur politique. Nous en voulons pour preuve les hésitations du président Obama dont le fameux slogan Yes we can ! est entré en déliquescence. Qu’en reste-t-il ? Plus grand’ chose.
Prenons un autre exemple, en politique étrangère : l’envoi ou non de nouvelles troupes en Afghanistan. L’hôte de la Maison Blanche ne sait plus vraiment ce qu’il doit faire. Et voilà que pour accroître un embarras déjà grand, on lui offre le prix Nobel de la paix. On n’a encore jamais vu une telle réaction à un tel prix, le plus prestigieux qui soit. Eh bien, le porte-parole personnel de ce président a fait une déclaration disant que tout en acceptant ce prix Nobel, le président devait aussi veiller à assurer la sécurité de ses concitoyens américains…
En d’autres termes, on prend enfin conscience que l’hyperpuissance que sont les USA ne peut pas se permettre de jouer au pionnier de la paix dans le monde, au respect des droits de l’homme etc…
Comment va évoluer la politique américaine ? Sur l’Afghanistan, on le voit, elle va poursuivre la politique de Georges Walker Bush ; sur le Proche Orient, on ne voit plus rien puisque le président hésite désormais à faire pression sur Israël puisque tout Washington lui a fait comprendre qu’il risquait de se retrouver bien seul en réclamant le gel des implantations.
Il est très difficile de tenir ses promesses électorales quand on est au pouvoir.