La libération de Gilad Chalit
La presse israélienne d'hiuer et d'aujourd'hui ne parle que de cela: le conseil de sécurieté du gouvernement d'Israël s'est réuni sans discontinuer et les positions sont restées les mêmes: trois sont pour et trois contre; reste la voie du Premier Ministre qui pourrait être décisive. La presse reproche à Benjamin Netanyahiou de vouloir une chose mais de refuser d'en payer le prix. Qui semble, en effet, trop élevé: relâcher dans la nature, dit=on, des assassins dont les mains sont tâchées du sang de nombreuses victimles. D'un autre côté, la cas Chalit bloque tout le reste, y comrpis les négocaitions de paix.
Que vaut il faire? Le pays est indécis mais il veut la libération de Gilad tout en refusant de relâcher certains prisonniers.
D'un autre côté, on n'imagine pas le Hamas paradant dans les rues de Gaza avec les prisonniers libérés: ce serait un appele à une récidive certaine.
Ce qui est frappant, c'est que les Israéliens veulebt récupérer leur prisonnier, en Palestine personne ou presque ne demande que l'on ha^te le retour des prisonniers chez eux..
Il y aussi le cas des parents du prisonnier juif qui veulent revoir leur enfant retenu dans uns geôle soureraine depuis plus de trois ans.
Que faire? Franchement, je ne sais. Il y a une preière juive qui se récite tous les matins: Dieu désentrave les entrévés: mattir assoruim. Que cela soit enfin vrai