la grece, premier pays de la zone euro a être en faillite ?
L’état financier et économique de la Grève est plus que préoccupant. Comment en est-on arrivé là ? La Grèce n’aurait jamais dû être admise dans la zone euro. Mais voilà, si tel n’avait pas été le cas, si on l’avait laissée en dehors, où en serait la drachme, plus bas peut-être que la dernière des monnaies d’Afrique noire… Alors que faire ? Bruxelles a déjà imposé à ce pays du club med (pour parler comme le ministre fédéral allemand des finances) un sérieux corset et il doit passer devant un conseil de discipline financier européen tous les trois mois… Vous vous rendez compte ?
Ceux qui sont le plus à plaindre sont évidemment les citoyens grecs, ressortissants d’un pays qui gît au fondement de notre culture et de notre civilisation, et qui, aujourd’hui en est réduit à supplier que quelqu’un (la Chine ?) rachète sa dette…
Les gouvernants de ce pays ont caché la vérité à leurs citoyens et à l’Europe. Ils avaient menti (oui, menti) sur le coût des jeux olympiques, pesant que cette préparation des jeux olympiques doperait leur économie et provoquerait, des années durant, un grand afflux de touristes… Peine perdue.
Enfin, ils n’ont pas dit la vérité sur l’état réel de leurs finances, sinon on ne les aurait jamais admis dans la zone euro. Et aujourd’hui, même sans le dire vraiment, ce pays en sera écarté, même temporairement. Quel drae et quelle déconvenue ?
Le grand problème de tous nos états sera, pour les années et les mois à venir, le désendettement. Et pour y parvenir, il faudra tailler dans les dépenses sociales. On ne peut plus poursuivre ainsi. Et quand on pense que des débats comme celui de l’identité nationale en France vont accroître les tensions et aggraver les exclusions, on se demande vraiment où on va…
Le seul bon élèbe de la classe européenne, je dis bien le seul, c’est évidemment l’Allemagne, créditrice nette. Sans bavure. A imiter.
L’état financier et économique de la Grève est plus que préoccupant. Comment en est-on arrivé là ? La Grèce n’aurait jamais dû être admise dans la zone euro. Mais voilà, si tel n’avait pas été le cas, si on l’avait laissée en dehors, où en serait la drachme, plus bas peut-être que la dernière des monnaies d’Afrique noire… Alors que faire ? Bruxelles a déjà imposé à ce pays du club med (pour parler comme le ministre fédéral allemand des finances) un sérieux corset et il doit passer devant un conseil de discipline financier européen tous les trois mois… Vous vous rendez compte ?
Ceux qui sont le plus à plaindre sont évidemment les citoyens grecs, ressortissants d’un pays qui gît au fondement de notre culture et de notre civilisation, et qui, aujourd’hui en est réduit à supplier que quelqu’un (la Chine ?) rachète sa dette…
Les gouvernants de ce pays ont caché la vérité à leurs citoyens et à l’Europe. Ils avaient menti (oui, menti) sur le coût des jeux olympiques, pesant que cette préparation des jeux olympiques doperait leur économie et provoquerait, des années durant, un grand afflux de touristes… Peine perdue.
Enfin, ils n’ont pas dit la vérité sur l’état réel de leurs finances, sinon on ne les aurait jamais admis dans la zone euro. Et aujourd’hui, même sans le dire vraiment, ce pays en sera écarté, même temporairement. Quel drae et quelle déconvenue ?
Le grand problème de tous nos états sera, pour les années et les mois à venir, le désendettement. Et pour y parvenir, il faudra tailler dans les dépenses sociales. On ne peut plus poursuivre ainsi. Et quand on pense que des débats comme celui de l’identité nationale en France vont accroître les tensions et aggraver les exclusions, on se demande vraiment où on va…
Le seul bon élèbe de la classe européenne, je dis bien le seul, c’est évidemment l’Allemagne, créditrice nette. Sans bavure. A imiter.