Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GEorges FRECHE encore et encore…

GEorges FRECHE encore et encore…

Mais que se passe-t-il donc au Parti Socialiste français ? On peut vraiment dire qu’une crise chasse l’autre… Depuis quelques jours, on se rend compte que Madame martine Aubry ne parvient pas à redresser la situation. La décision d’exclure le président socialiste Frèche et ses partisans était irréfléchie. Quand il y a un phénomène de masse, on va avec la masse, surtout lorsqu’il s’agit de politique et non pas de philosophie.

Ce qui était totalement imprévu, c’est le sortie du Sénateur maire de Dijon et de quelques autres qui s’empressent d’aller soutenir le dissident.

Disons un mot de ces opinions politiques. Je parle de l’ancien maire de Montpellier : il n’est ni antisémite ni poujadiste, c’est simplement un homme politique madré, ancien professeur de droit, doté d’une intelligence nettement supérieure à la moyenne des politiciens de province.

La direction parisienne a investi une femme, maire de la ville, certes méritante car blancie sous le harnais absolument dépourvue de charisme et qui va, par son score mineure, ridiculiser encore un peu plus son parti.

Bravo, Madame Aubry !

Mais que se passe-t-il donc au Parti Socialiste français ? On peut vraiment dire qu’une crise chasse l’autre… Depuis quelques jours, on se rend compte que Madame martine Aubry ne parvient pas à redresser la situation. La décision d’exclure le président socialiste Frèche et ses partisans était irréfléchie. Quand il y a un phénomène de masse, on va avec la masse, surtout lorsqu’il s’agit de politique et non pas de philosophie.

Ce qui était totalement imprévu, c’est le sortie du Sénateur maire de Dijon et de quelques autres qui s’empressent d’aller soutenir le dissident.

Disons un mot de ces opinions politiques. Je parle de l’ancien maire de Montpellier : il n’est ni antisémite ni poujadiste, c’est simplement un homme politique madré, ancien professeur de droit, doté d’une intelligence nettement supérieure à la moyenne des politiciens de province.

La direction parisienne a investi une femme, maire de la ville, certes méritante car blancie sous le harnais absolument dépourvue de charisme et qui va, par son score mineure, ridiculiser encore un peu plus son parti.

Bravo, Madame Aubry !

Les commentaires sont fermés.