QUE FAIRE DES ROMS ET DES GENS DU VOYAGE ?
Oui, que faire de ces gens qui ont des droits comme tous les êtres humains mais dont la mentalité et le mode de vie différèrent parfois fortement de ceux des autres au contact desquels ils veulent vivre ? La question se pose et le comité de l’ONU qui a dressé à la France un rappel à l’ordre a commis une bévue.
On ne peut pas s’installer n’importe où ni n’importe comment. On voit en Normandie et ailleurs, les habitants, les paysans et les commerçants s’inquiéter chaque fois qu’un camp s’installe dans leur voisinage quasi immédiat. Certains allèguent même, à tort ou à raison, une recrudescence des vols et des cambriolages chaque fois que des migrants font leur apparition : mythe ou réalité, je ne sais. En revanche, je sais qu’il y a une véritable appréhension de la population.
La loi en vigueur est claire : les gans du voyage ont à leur disposition des terrains spécialement affectés. Le problème est qu’ils veulent parfois en changer et jettent leur dévolu sur d’autres emplacement, notamment des domaines privés.
En fait, le problème, qui est réel, appelle une solution européenne. Car ces gens envahissent aussi les rues de Paris et d’autres grandes villes où ils se livrent à ce que le ministre de l’intérieur a nommé des pratiques de mendicité agressive. Nous les avons vu faire.
Et que dire de ces gens qui exhibent dans les rues, sur leurs genoux ou dans leurs bras des nourrissons à la seule fin de susciter la commisération des passants. Ou qui utilisent des handicapés, placés au milieu des trottoirs, et qui se collent aux gens pour leur soutirer des pièces.
Certes, tout le monde a des droits mais il y a aussi des devoirs qui vont avec. Je crois que les pays concernés Bulgarie, Roumanie et d’autres devraien mieux s’occuper de leurs nationaux et ne pas les envoyer vers d’autres destinations.
Il faut aussi penser à la scolarisation des enfants, aux soins aux personnes âgées, bref à toute une hygiène dont tout être humain a besoin.