Incidents frontaliers entre l’US Army et les Gardiens de la révolution à la frontière occidentale de l’Iran
On pourrait penser qu’il s’agit d’une guerre de l’ombre tant les incidents curieux, les disparitions mystérieuses et les explosions de sites iraniens nucléaires, se succèdent à un rythme encore jamais vu. Et ces derniers jours, France 24 a, dans un focus, parlé d’incidents meurtriers à la frontière entre l’Iran et l’Irak, mettant aux prises les Marines et les pasdarans.
Les journalistes, spécialistes de ce genre d’informations, ne semblent guère s’émouvoir de ce black out observé par les deux parties. On ne reconnaît pas des incidents dont souhaite qu’ils demeurent secrets. C’est possible, mais une chose est sûre : il y a entre l’Iran et les forces US en irak un regain d’activités qui ne laisse rien augurer de bon.
On a déjà eu l’occasion de parler de cette mystérieuse explosion dans une base de missiles qui serait due à des en,gins de destruction. Mais les habitants des villages voisins de la base, réveillés par de terribles explosions, ont cru à un raid aérien. Mais dans ce cas, ce serait des avions US ultra furtifs (pilotés par qui) qui en seraient responsables.
Et si cela s’ajoute à des incidents frontaliers, cela laisse présager des changements graves : quand on veut lancer une offensive de grande envergure, les militaires testent les défenses ennemies en lançant des opérations de commandos, entraînés à la survie dans le désert, ne circulant que la nuit et se reposant ou observant de jour. Toutes les hypothèses sont envisageables. Nous ne saurons jamais la vérité exacte : j’avoue ma perplexité.
Car d’où viennent ces bribes d’information ? Et pourquoi les services israéliens ont été les premiers à divulguer l’attaque (ou l’accident) du 12 octobre ? Etait-ce une sorte de cadeau offert au président iranien venu narguer les Israéliens tout près de la frontière ?
Tout ceci est bien étrange. Si on pouvait nous renseigne