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Venise, Venise, Venise

Venise, Venise, Venise

 

Je ne vous ai pas oubliés, mais j’ai dû aller me reposer à Venise au D—i où le séjour fut féerique. Cette ville est un miracle dans tous les sens du terme. Survivra-t-elle aux menaces qui pèsent sur elle et qui ont nom tourisme de masse ? Je l’espère.

Il était près de vingt heures l’autre lundi lorsque l’Airbus A 320 d’Air France roulait sur le tarmac de l’aéroport de Venise. Ici rien ne ressemble à ce qui se fait ailleurs. Nous trions nos valises et prenons le fameux vaporetto. La nuite envahit la noble cité des doges et nous ne voyons pas grand chose. L’arrivée au D—i se fait une bonne heure après. Nous avons tout juste le temps de nous installer et sortons dîner dans un magnifique restaurant appelé le restaurant des deux fourneaux. Les Italiens sont magnifiques ; ne dit-on pas que les Français sont des Italiens de mauvaise humeur ?

Mais je vous en dirai plus dès demain et voici les thèmes que j’aborderai :

Venise, Venise

Le pont des soupirs

Le Bellini au D---i

L’île de Murano et le cristal de Venise

L’île de Burano, petite île de pêcheurs

Le vieux ghetto de Venise

Les taxis fluviaux

Un vrai rêve.

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