<M. Obama a tteint les limites du supportable. Il s'est lui-même fourré dans un inextricable guêpier. Et voici que depuis hier il a enrichi une danse qui se pratiquait au Moyen Âge, d'un genre nouveau. Il s'agit du fameux drapier des lanciers: un pas en avant et trois pas en arrière!
On a déjà eu l'occasion de dire notre pensée sur ce cours en zigzag du président actuel des USA. Il commence par dire qu'il va y aller, qu'uil y a une ligne rouge et que l'on va voir ce que l'on va voir. Ensuite, il dit qu'il attend les preuves. Une fois les preuves réunies, il décide de ne pas décider car, ajoute t il, on ne sait pas certitude qui a mis en oeuvre les armes chimiques. Encouragé par ces atermoiements, Bachar récidive sur une grande échelle et l'opinion publique mondiale est horrifiée par ce qu'elle voit. L'émotion est considérable.
M. Obama comprend enfin qu'il doit réagir. Il se lance dans l'affaire avec tant de maladresse que ce fidèle allié britannique lui fait défaut. Le président US réplique qu'il n'a en vue que les intérêts américains. Donc, il se prépare à y aller.
Mais il y va sans y aller tout en y allant! Peu sûr de lui-même, M. Obama prend soint de préciser qu'il ne veut pas renverser Bachar, ni provoquer un changement de régime, mais simplement punir, faire peur et prévenir un futur recours aux armes chimiques.
Et enfin, dernière trouvaille, car M. Obama n'est jamais à court d'idées, il veut une consultation du Congrès des Etats Unis!!!
Seigneur, et cet homme préside aux destinées de la plus grande nation au monde. On peut comprendre les griefs des Républicains quand ils parlent de cette présidence.
Avez vous déjà un attaquant informant précisément son ennemi de la date de l'attaque?
M. Obama a affaiblit la position des USA.