Peut on faire confiance à M. Poutine?
Ce n'est pas sûr tant l'homme est futant et retors, mais une chose demeure certaine, dès que l'on a touché aux avoirs de ses suppots les plus proches, il a tout de suite compris que le jeu n'env alait pas la chandelle/ Imaginez vous que l'on estime sa fortune personnelle, dissimulée dans des investissements ananonymes; à plusieurs milliards de dollars… Or, pour une fois, les USA n'y sont pas allés avec le dos de la cuiller. S'il prenait fantaisie à M. Poutine de rzfaire ce qu'il a commis; il saura à quoi s'en tenir.
Reste le cas de la Crimée où les choses sont allées très vite. Certes, certains pays peuvent se réclamer de ce précédent pour expliquer que rien n'est jamais gravé dans le marbre, que tout évolue et que même l'Ukraine est un conglomérat artificiel de régions très différentes les unes des autres.. C'est possible. Mais il demeure que c'est un chef d'Etat ruse qui a osé retracer les frontières héritées de Yakta et de la seconde guerre mondiale.
A dire vrai, je doute fort que l'on puisse faire rendre gorge à la Russie. Il faut absolument définir avec elle ce que doit être sa place dans l'Europe et dans le monde. Même si je suis réservé à l'égard de M. Poutine, je dois bien reconnaître que son encerclement potentiel par les pays membres de l'OTAN, anciennement membre du Pacte de Varsovie, ne peut laisser personne indifférent. Et puis il y a le spectre du dclin. La Russie n'a plus que 120 millions d'habitants et les prévisions parlent d'une baisse de sa population. Face à elle, les USAA déploient leur superpuissance..
Il faut donc que l'UE fasse des propositions à l'ancien ours soviétique afin qu'il se tienne tranquille. Il suffit de voir combien la Pologne et les Etata baltes sont gagnés par la peut pour être convaincus de la nécesité d'une entente.
Pour la Crimée, c'est triste, mais si ses habitants veulent la Russie, que faire?