La côte de popularité de l'équipe de France de foot ferait pa^lir d'envie un chef de l'Etat bien en peine et incapable, sauf miracle de dernière minute, de remonter tant elle paraît plombée par les résultats ou plutôt l'absence de résultats sur le front du chômage.
Cette comparaison qui tient le plus grand compte du caractère sacré de la focntion présidentielle attire aussi l'attention sur l'inadaptation des institutions politiques actuelles. Il y a, objectivement parlant, une majorité à l'Assemblée qui ne veut plus rien dire et qui elle même se déchire. Or, elle continue de diriger un pays qui ne se reconnaît plus en elle. Le pricnipal intéressé dit que les institutions sont fortes en d'autres termes qu'elles le protègent, mais il existe un autre qui est plus intéressé encore, le peuple, et rien ne nous dit que ce dernier supportera sans mot dire des années de restriction économique et de déconfiture financière. Tout 2014, tout 2015 et peut être un léger frémissement en 2016! Il est peu probable que cela marche.
Que faire? Dissoudre ou convoquer un gouvernement d'union nationale.