Dans les rues et les marchés d'Israël
Une chose ne laisse pas d'être frappante ici: la langue française est parlée par un Israélien sur trois ou sur quatre. Et pourtant, en raison de l'opposition farouche du Liban, Israël est enu à l'écart de la francophonie. Il y a plus de deux ans, j'avais rencontré le directeur de cabinet de la ministre de la culture qui m'avait dit ceci verbatim: qu'Israël pose sa candidature et elle sera examinée avec attention. Le problème est que l'admission d'un nouveau membre requiert l'unanimité et là chacun sait que les chiites et les unnites libanais n'accepteront jamais. C'est ainsi qu'une anomalie se prolonge et qu'Israël qui aimela culture française s'en trouve exclue, du moins des aréopages officiels
Il serait temps de emédier enfin à cette anomalie. Il suffirait de modifier les statuts.
Mais au Proche Orient, tout ce ui est facile ailleurs est très difficile ici. Voire insurmontable.