En renouant intelligemment avec l'île castriste, <M. Obama évite de laisser un bilan entièrement négatif en matière de politique étrangère. Il faut dire cependant que même cette initiative est dénoncée par les membres républicains du Congrès qui auraient souhaité que le pays mît Cuba à genoux au lieu de sauver le régime communiste local.
Au fond, on perçoit chez l'occupant actuel de la Masion Blanche le même raisonnement à l'uvre avec l'Iran: alors que ces régimes sont en difficulté, il négocie avec eux et, en quelque sorte, leur sauve la mise. Le problème est que ce président n'est pas pas vraiment doué pour les négociations difficiiles.
Mais le point est positif, il faut renouer avec Cuba et confronter le régime communiste à la liberté et au commerce.