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Les incroyables atermoiements d'Obama en politique étrangère

Les incroyables atermoiements de la politique étrangère d’Obama : l’Iran l’Irak, etc…

La Maison Blanche a annoncé hier dans la précipitation que le Pr Obama avait enfin décidé d’envoyer des forces spéciales en Syrie. Il était temps. Ce président US aura été le plus indécis, le plus faible et le plus imprévisible de tous ses prédécesseurs.

Cela fait des mois que son état major interarmes lui explique que l’on ne fera rien contre l’Etat Islamique sans troupes au sol. Et cela fait des mois que ce président fait la sourde oreille. En fait, c’est la vigoureuse action russe en Syrie qui l’a décidé. Et qui explique qu’il cange à nouveau son fusil d’épaule.

En quelques semaines de frappes vigoureuses, les Russes ont rétabli la situation de Bachar qui était à bout de souffle. Avec leurs attaques  l’hélicoptère de combat et leurs bombardements intensifs, ils ont modifié la situation sur le terrain. Même au plan diplomatique ils ont pris tout le monde au dépourvu en affirmant vouloir aider même l’opposition modérée, l’ASL… Les Américains, dirigés par un si piètre président, n’avaient jamais imaginé pareille chose.

D’où les changements de la politique en Syrie dans le désordre et la précipitation.

Les Français avec leur entêtement anti Assad ont perdu du temps : ne vous focalisez pas sur Assad, il tombera de lui-même, concentrez vous sur la barbarie.

Mais le Pr Obama n’a pas causé un dommage collatéral uniquement, il a imprudemment remis l’Iran dans le circuit, ne se rendant pas compte des suites incalculables que cela entraîne au Proche Orient : alors que les États arabes modérés font tout pour expulser l’Iran de leur sein et au Proche Orient, Obama lui déroule le tapis rouge. Et conforte par là même l’emprise de ce pays sur la Syrie et renforce le Hezbollah.

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