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Le brexit

Le brexit

Me culpa, mea maxima culpa ! Je me suis trompé en présidant le succès du in et du remain. Oh, je ne serai pas le seul, mais tout de même.
Ainsi donc, nos amis britanniques nous quittent, ils rejoignent l’insularité séculaire de leurs ancêtres, au lieu de continuer à construire l’Europe avec nous. Depuis ce matin tôt, au réveil, j’avais la gueule de bois : que des commentaires sur les conséquences de ce vote inattendu. Mais tournons nous vers l’avenir. Que va y il se passer ? D’abord et j’y tiens beaucoup, les Britanniques restent nos amis et nos alliés, nous continuerons à aller chez eux et eux à venir chez nous. Nous les informerons des menaces terroristes pesant sur eux et ils en feront de même pour nous. Il faut aussi battre notre coulpe : cette Europe ne convenait pas. Les eurocrates de Bruxelles se mêlaient de tout et de rien à la fois, ils exerçaient sur ces pauvres British une tutelle des plus pesantes. Et une chose m’a frappé ce matin : tous ces gens simples qui s’estimaient envahis par des réfugiés arabo-musulmans, par ces Polonais adeptes du tourisme social, pratiquant le dumping etc… Il fallait y mettre fin et que fit Bruxelles ? Elle tenta d’imposer un quota de réfugiés, et menaçait de lourdes sanctions financières les récalcitrants . En fait, c’est la commission européenne de Bruxelles qui a provoqué le Brexit et qui en est responsable. Le problème maintenant va être de gérer la suite ; Que vont faire le Danemark et la Grèce, sans même parler de l’Espagne et du Portugal ? Que va faire l’Allemagne qui va être au centre de toutes critiques avec la politique d’austérité et d’équilibre budgétaire ? Que va faire la Pologne ? Bref, un effondrement général est à craindre. Est ce que l’on va rénover l’Europe en profondeur ou proposer de simples rustines ? Si c’est la seconde possibilité qui s’avère alors adieu l’Europe !

Il faut une certaine légitimité renouvelée pour s’attaquer à ce chantier. Les gouvernants actuels l’ont ils ? C’est toute la question comme dirait Hamlet

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