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Hamon, Montenbourg, Valls et les autres

Qu'on que dise Manuel Valls et ses comités de soutien, la partie est finie pour lui, ce soir il ne sera pas au-dessus des 40% et encore ce sera peut-être moins. Et le duo Montebourg-Hamon se sera vengé de la plus sanglante des façons: ils lui auront fait payer leur éviction du gouvernement. Les vengeances en politique sont terribles surtout lorsqu'on fait du pouvoir une raison de vivre et d'être. Levinas nous enseigne que la notion même d'être l'est pour la guerre, la lutte contre les autres, l'indomptable volonté de persévérer dans l'être, à quoi sa disciple préférée, Catherine Cahlier, répond par un bon livre intitlé La persévérance du mal...

Mais retombons sur terre et quittons les horizons étéhriques de la philosophie et de l'ontologie.

Ce soir, peu après vingt heures, 'ancien Premier Ministre français va devoir faire son deuil de la présidentielle de 2017, ses regards se portent déjç sur 2022 car il sait que son concurrent Hamon n'aura que la quatrième ou la cinquième place au premier tour et su'il sera absent du second. Ce ne sont pas ses promesses faramineuses d'un revenu universel garanti à tous  qui lesuivront. C'est la formule mise à jour de demain on rase gratis. Curieux, mais cette idée n'a jamais quitté l'inconscient des Français.

Que va faire Valls dès demain matin? Il va tenter de recoller les morceaux au PS et tenter de l'investir de ses prores valeurs, propres à une gauche de gouvernement. Bref, bâtir sur le champ de ruines, les ruines fumantes de l'actuel PS. La gauche pure et dure, qui voit encore en Fidèl Castro un héris va incarner un communisme qui n'ose même plus se présenter sous son vrai nom puisqu'il qu'il fait de Mélenchon son champion. Lequel ne dépassera pas les 10% à l'élection présidentielle à venir.

Mais comment sommes nous arrivés à cette Apocalypse? On se le demande. Mais si l'on regarde du côté de François Hollande, on se rend compte qu'on tient un facteur ou un principe d'esplication. Hollande aura tué la gauche, se sera fait voler la victoire par l'un de ses poulains qui dit aujourd'hui, sans honte, qu'il a scruté le pouvoir de l'intérieur et qu'il en est ressorté assez ébranlé dans ses convictions et ses projets.

N'est ce pas là la crucifixion de son maître? L'apprenti-sorcier a décidé de tenter sa chance. Jusqu'où ira t il? Pas très loins et même s'il est le bien aimé des  média.

Mais il est évident que les vieilles dames du PS auront eu une belle vengeance. Vallas a perdu et il va devoir reprendre tout dé le début, ab ovo.

Il avait à l'oeil le navir Macron lequel a fini par prendre le large sans lui. Il a essayé de le tarapper mais c'est trop tard...

 

 

 

 

 

 

 

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