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  • LA VIOLENCE DANS LES STADES…

    LA VIOLENCE DANS LES STADES…

    La mort du jeune supporteur toulousain, atteint de coups de barres de fer et de chaînes de vélos donnés par les amis du Club de football de Belgrade vient alourdir le bilan déjà grave des violences dans les enceintes sportives. Je n’ai jamais compris comment la joie du sport et de la compétition pouvait déchaîner de telles passions et de telles violences. Certes, le public qui se presse dans les stades ne brille ni par distinction ni par sa culture… Mais tout de même ! Que son équipe gagne ou perde (certes, il vaut mieux qu’elle sorte victorieuse de la compétition), cela ne doit pas provoquer des violences pouvant aller jusqu’à mort d’homme.

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  • France-Télécom : le coût d’une restructaurti

    France-Télécom : le coût d’une restructaurti

    La nouvelle est tombée comme un couperet : un nouveau suicide chez France-Télécom. On en est à 24 en dix-huit moi,s si je ne me trompe. C’est grave et c’est triste, mais il faut se garder de tout jugement rapide. Nous présentons, avant tout, nos sincère condoléances aux familles éprouvées, et notamment à celle qui vient d’être touchée.

    On peut restructurer une entreprise, c’est normal, mais les êtres humains qui y travaillent ne sont pas des pions que l’on déplace en se focalisant uniquement sur les réalités du mangement. Il faut plus de dialogue et plus de concertation.

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  • Repentir humain et pardon divin : Kippour

    Repentir humain et pardon divin : Kippour

     

    Le point culminant du calendrier liturgique juif, yom kippour, tombe cette année le 28 septembre. Ce moment là marque incontestablement l’apogée de la spiritualité religieuse juive. Dix journées, dites de pénitence, séparent le Nouvel an (rosh ha-shana) de ce rendez vous solennel que même les plus assimilés parmi les juifs tiennent à commémorer d’une manière ou d’une autre.

    Si le Nouvel an se signale surtout par son caractère austère, yom kippour, dit le jour des propitiations (plus simplement : le jour du grand pardon), brille par son caractère solennel : c’est un jeûne qui dure presque vingt-six heures que les fidèles passent en prières dans les synagogues. Il faut patienter jusqu’à la fête des tabernacles (soukkot), le 2 octobre, pour que des rayons de joie et d’allégresse illuminent enfin la vie religieuse.

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