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  • L'espion juif de Hitler

    L'espion juif de Hitler

    Dachau, non loin de Munich le 10 avril 1941. Tous les déportés ont pris le chemin de la forêt pour effectuer leurs travaux forcés dans le camp de la mort. Seul le juif Paul Fackenheim a reçu l'ordre de ne pas bouger. Il teemble de peur sur la place du rassemblement. Que va t il lui arriver? Son furocnle sanguinolent au cou le tourmente et le fait souffrir.

    Soudain, deux infirmiers arrvient et nettoient sa plaie, il est consuit à l'infirmerie où un chirurgien le débarrase une fois pour toutes de son mal. On le conduit l'infirmerie du camp. Et dans une pièce attennante, deux hommes en civil le prient affablement de s'asseoir. Le plus athélétique des deux  lui pose la question suivante: voulez vous servir votre pays et sortir de cet enfer? Fackenheim ne sait que réussir, n'en croyant pas ses oreilles. IL accepte. Et les choses vont très vite: on l'embrque dans un train pour Bruxelles, et de là à Berlin et ensuite AThènes où il reçoit des cours de morse et d'émissions de messages codés.

    La mission est la suivante: il être parchuté au dessus de Haifa et espionnera les mouvements de troupes britanniques qui doivent aider l'Afrikacorps de Erwxin Rommel, le renard du désert. Fackenheim est parachuté mais un comité d'accueil britannique l'attend  au sol: des nazis fanatiques l'ont dénoné aux BRitanniques car ces fanatiques ne pouvaient vivre avec l'idée qu'un juif pût représenter le REich.

    Fackenheim frôle la mort à maintes reprises et pourtant il finira une très bonne guerre comme chef de cuisine des forces armées de Sa Gracieuse Majesté britannique.

     

    Vous pouvez lire son histore chez Michel BAr Zohar, L'espion juif de Hitler, Fayard, 1970. Vous passerez un bon moment, surtout au bord de l'eau.

  • Le procès de Hosni Moubarak

     

     

    Mais que se passe t il au juste sur les bords du NIl: selon toute apparence, les généraux égyptiens sont pris à leur propre piège. Ils ont cru offrir une pâture, une véritable victime expiatoire au peuple en sacrifiant leur ancien chef et voila que le peuple révolté par tant d'années de souffrances et de dictature, ne veut plus rien entendre et réclame justice!

    Que les choses soient bien claires: malgré toutes les fautes de l'ex Raïs, j'ai pour lui une ceetaine commisération. Sa vue hier, allongé sur une civière, face à ses juges, m'a profondément trioublé. Certes, la dictature est abominable mais citez moi un seul pays, partageant la même culture et la même civilisation, qui n'ait le même problème.

    Les généraux n'aveirnt pas prévu que certains avocats de la défense demandearaient l'audition du chef de la junte actuelle, car c'en est une, pour qu'il témoigne Or, Hosni Moubarak, à lui seul, n'a pas pu mettre toute l'Egypte sous coupe réglée, il lui a fallu des relais, lesquels gouvernenent aujourd'hui le pays.

    Moubarak face à ses juges a dû méditer sur l'ingratitude et le cynisme des grands de ce monde qui, il y a encore quelques moi,s le serraient dans leurs bras, lui faisaient la bise, lui donnaient l'accolade et voila que maintenant plus personne.

    On ne sait jamais quand une révolution s'arrête ni où elle veut bien s'arrêter. Les généraux qui ont tous été promus par Hosni Moubarak sont eux aussi partie prenante dans le régime déchu. Ils n'ont pas choisi la bonne méthode: le premier d'entre eux devrait s'adresser à la nation, comme les Arabes aiment le faire, et dire la vérité: plus de haine, plus de guerre, le développement, le travail, encore et toujours.

    Ne pas dire la vérité au peuple égyptiens, aujourd'hui, c'est tenter de chevaucher un tigre affamé...

  • La commémorztion de la chute du Temple de Jérusalem

    La commémoration de la chute du Temple de Jérusalem

    Depuis dimanche, les juifs religieux d'Israël et du monde entier, mais cela se fait plus sentir à Jérusalem, les juifs religieux observent une certaine retenue dans l'expression de la joie et de l'allgéresse. Car la tradition juive a fixé au jour du 9 av, cette année mardi prochain, le souvenir de la chute du temple. C'est donc une semaine de semi deuil qui culmine le jour du jeûne et se termine immédiatement après. La semaine dernière dans les synagogue on a récité certains passages bibliques, mais dès le samedi qui vient on lira la péricope prophétique d'Isaïe (ch. 1) qui prend violemment à partie les Judéens qu'il traite des fils fils corromus et corrupteurs. Mais de la semaine suivante, on lira le chapitre 40 d'Isaïe, dit le Deutero-Isaïe qui commence ainsi: Consolez, consolez mon peuple (Nahamou, nahamou 'ammi).

    Cette injonction est cnesée montrer que D- n'bandonne jamais définitivement son peuple et qu'il ne fait que le corriger (je me permets d'ajouter: un peu trop durement)

    Ce qui est intéressant, ce sont les dispositions prieses durant la semaine qui précède la commémoration: et là les religieux se sont déchaînés: pas de nage en mer, pas de sorties au cinéma, au restuarnat, pas d'achats d'effets neufs, pas de consommation de viande, etc.. ce qui fait que Clara et Laura nous ont contraints à consommer du poisson hier soir au restaurant.

    Tout passe et je suis tujours émerveillé de voir comment ce judaïsme, intelligent ou non, érudit ou ignorant, renaît toujours de ses cendres.