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  • L’assassinat du général libanais Wassam am-Hassane, chef de la sécurité intérieure à Beyrouth

    L’assassinat du général libanais Wassam am-Hassane, chef de la sécurité intérieure à Beyrouth

     

    Ce qui s’est passé hier ou avant-hier dans la capitale est un drame sans nom. Non seulement un fidèle serviteur de l’Etat libanais souverain a été tué dans un attentat qui a coûté à tant d’autres personnes et fait près d’une centaine de blessés, mais en plus il ravive des craintes que l’on croyait oubliées : le retour de l’instabilité chronique qui a fait du Liban un pays ravagé par les factions qui l’ont conduit à sa perte avant que des hommes politiques courageux ne réussissent enfin à redresser la situation.

     

    Aucun doute ne subsiste sur l’identité des meurtriers ni sur celle de leurs commanditaires : il suffit de rappeler que le défunt général, proche de Saad Hariri, avait arrêté un ancien ministre libanais, retour de Damas, avec dans sa voiture des explosifs. Comme l’affaire est encore en enquête, il vaut mieux s’en tenir là, mais on peut se demander à qui profite le crime. Inutile de chercher très loin, ce sont les mêmes forces obscures qui défendent au Liban les intérêts de la Syrie et ne reculent devant rien pour parvenir à leurs fins.

     

    Ce qui apparaît au grand jour, c’est que le régime syrien aux abois cherche à déstabiliser son voisin libanais afin de l’entraîner dans sa chute et, au final, de provoquer une déflagration régionale, qui lui permettrait alors de sortir de son isolement et de retourner la situation à son avantage. Pauvres illusions !

     

    Mais entre temps, ce pauvre Liban paie une lourde facture.

     

    La révolution syrienne bat son plein et ne s’arrêtera pas là. Mais le Liban devra absolument de libérer des suppôts des Syriens qui minent son intégrité et bafouent sa souveraineté. Comment de temps durera encore le régime syrien ? Ceux qui prévoyaient sa chute dans un avenir prévisible se sont trompés.

     

    Il est temps de changer de stratégie…

  • Titre de la noteEst ce que la Syrie peut s’en sortir ?

    Est ce que la Syrie peut s’en sortir ?

     

    C’est la question que tout le monde se pose aujourd’hui. Personne ne s’intéresse plus au théâtre d’ombres dont l’acteur principal n’est autre que le vieux diplomate algérien qui vole d’un pays à l’autre, récoltant ici des promesses non tenues, et là des assurances qui ne valent pas grand chose.

     

    La réalité est que Bachar el Assad est en train de pratiquer la politique de la terre brûler , en arabe siyassat al ard al mahrouka. Jamais, pas une s eule fois, il n’a tenté de parler avec l’opposition ; pas une fois il n’a proposé de faire un cessez le feu. Rien. Il a répondu par un gigantesque déploiement de forces. Et j’ajoute que je suis surpris par la vigueur du régime et par sa reprise en main du pays. Plus de désertions, plus de défections.

     

    Et surtout, son armée est réapprovisionnée, elle passe à l’offensive, les troupes sont ravitaillées, se reposent et sont remplacées par des forces fraîches qui repartent au front. Donc, la révolte marque le pas. Ce n’est pas de sa faute car elle n’a pas l’armement nécessaire et mène néanmoins un combat héroïque : déjà plus de 30.000 morts.

     

    Que faire pour en finir et abréger les souffrances du peuple syrien ? Les Occidentaux doivent envoyer quelques officiers des forces spéciales encadrer les insurgés. Faute de quoi, on ne s’en sortira pas.

  • Discours du récipiendaire

     Discours du récipiendaire

     

    Messieurs les Ministres Bernard DEBRE Claude GOASGUEN et Claude GUEANT

    Monsieur Jacques-Pierre GOUGEON, conseiller spécial de Monsieur le Premier Ministre JMA

    Madame le professeur Blandine KRIEGEL et si vous le permettez chère Blandine,

     

     

    S. Excellence. Monseigneur Luigi VENTURA, Nonce apostolique

    S.E. Madame Susanne WASUM-RAINER, Ambassadeur d’Allemagne

    Monsieur le Grand Rabbin Josy EISENBERG

     

    Madame Céline BOULAY-ESPERONNIER, Conseiller de Paris et adjointe au Maire du XVIe arrondissement, Monsieur Claude GOASGUEN,

    Monsieur Charles MALINAS, Conseiller diplomatique auprès de Madame la Ministre de la culture

    M. Jean-Paul FAUGERE, Président de CNP-Assurances

    Monsieur Xavier MUSCA, Directeur Général délégué du Crédit Agricole

    Monsieur le Sous- Préfet Alain BOYER

    Madame Anny FORESTIER, Proviseur du lycée Janson de Sailly

     

    Monsieur Philippe OLIVIER, Conseiller pour la culture et pour l’enseignement supérieur auprès de M. le Sénateur-Maire de Strasbourg

     

     

    Monsieur le Directeur Général des éditions Univers poche, M. François Laurent

    Monsieur le Directeur Général des éditions Berg International, M. Georges NATAF

    Monsieur le Directeur Général des éditions Armand Colin, M. Jean-Christophe TAMISIER

     

    Mesdames, Messieurs,

    Chers Amis,

     

    Avant toute chose je veux exprimer ma profonde gratitude à Madame le Professeur Blandine KRIEGEL, professeur émérite des Universités, ancienne chargée de mission à la présidence de la République et ancienne présidente du Haut comté à l’intégration, qui a si généreusement accepté de remplacer le Président Jean KAHN, rendu indisponible à la suite d’un petit problème de santé.

    J’adresse donc à mon éminente collègue et Amie Blandine ma très vive gratitude

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