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  • Jours difficiles en prévision pour l'Egypte

    Jours diffisiles à venir pour le pays du Nil

    La colmmission électorale a proclamé les résultats du référendum: les islmaistes ont gagné avec 64% des suffrahes mais moins de 35% d'Egyptiens sont effectivement allés voter. Ce qui veut dire que o'n n'en pas fini avec ce référendum qui aurair connu des fraudes massives et sur lequel l'opposition reviendra sûrement.

    Les media se trompent en disant valider le résultat des élections, la commission élecorale s'est contentée de les communiquer. C'est la haute cour égyptienne qui statuera pour savoir si ces élections étaient régulières ou pas.

    Et dans la foulée il y aura des léec tions législatives. L'opposition a enfin compris qu'elle devait mettre de côté ses divergences et aller unie au combat. Sinon l'Egypte, à terme, deviendra un nouvel Iran. Ce qui signifie, en gros, une guerre civile.

    Que fera l'armée? Pour le moment elle observe et se tient prête à toutes les éventualités.Mais le problème est que les islamistes vont tenter de tout accaprer, il y aura des troubles et l'armée devra intervenir. La haute hiérarchie militaire finira par en avoir assez de ces chamailleries et mettra de l'ordre.

    Déjà l'économie égyptienne est en quasi faillite depuis près d'un an. C'est cela le vrai combatt du pays, ce ne sont ni Israël, ni les Palestiniens, ni les Syriens, c'est léconomie quil faut remettre en marche. Donner du travail et de l'spérance aux jeunes.

    Sinon, ce sera le chaos. Espérons que la sagesse finira par l'emporter.

  • Retour en force d'un mot banni de notre lexique: la TRADITION

    Noël 2012 ou le retour de la tradition...

    Le grand philosophe allemand Hegel, qui voulait, durant sa jeunesse faire de la théologie et même rédiger une biographie de Jésus (ce sont les œuvres restées à l'état de manuscrit du jeune Hegel) disait que lire les journaux équivalait à une prière quotidienne. Il estimait que prendre connaissance de ce qui se passait dans notre environnement immédiat relevait d'un devoir quasi religieux.

    Que n'aurait-il dit s'il vivait de notre temps où la durée est devenue stratosphérique et l'espace entièrement rétréci. Mais surtout s'il regardait nos télévisions tous les matins, il serait édifié!

    Or, depuis quelques jours, je note, en écoutant les déclarations des gens sur Noël et les fêtes de fin d'année, le retour en force d'un mot, d'un terme, qu'un certain esprit pseudo-révolutionnaire, avait banni de notre vocabulaire. Ce terme c'est la TRADITION.

    Qui l'êut cru, qui l'eût prédit? Ce mot avait littéralement disparu de notre lexique, ceux qui l'utilisaient s'excusaient presque de le faire. Eh bien, depuis quelques jours, il revient sur toutes les lèvres: que ce soit le skipper du Vendée Globe, seul sur la face des océans ou la ménagère de cinquante ans qui fait ses emplettes dans les grands magasins, tous rendent hommage à la tradition, aux repas en familles, aux cadeaux, à l'assistance aux offices religieux, et le tout en se réclamant de la tradition. Même si, je le confesse, tous ne placent les mêmes idées derrière ce terme.

    Comment s'explique ce retour en force? Probablement, par la crise économique qui perdurer, par l'incertitude du lendemain et la peur du saut dans l'inconnu. Ceux qui avaient calculé le bonheur des êtres humains en se conformant ai degré consumériste de chacun de nous ont échoué. C'est vrai, il faut à l'homme un peu plus que le bonheur matériel. Et soudain, quand tout lâche, on se raccroche un peu au passé.

    C'est attitude n'est ni passiéste ni rétrograde, elle est simplement conforme à une tradition plurimillénaire. La tradition n'est pas une vieiile chaussette que l'on doit jeter par dessus bord. Et ceci vaut de toutes les traditions.

  • Le régime syrien, coupable de crimes contre l'humanité

    Le régime syrien, coupable de crimes contre l'humanité

    Depuis un certain temps déjà, le régime de Bachar el Assad recourt à une arme particulièrement abjecte, l'attaque de boulangeries devant lesquels de pauvres civils affamés font la queur pour se snourir. C'est particulièremenr repoussant d'agir ainsi, car le régime ne trouve plus d'autres moyens de combattre la rebellion, alors il s'en prend aux populations des régions libérées. La dernière remonte à avant-hier et a fait plus de 60 victimes, sans compter les blessés, plus d'une cinquantaine dont plusieurs se trouvent dans un état critique. Au fond, la diplomatie russe n'a pas tort de dire que même si on lui conseillait de quitter le pouvoir BAchar n'écoutaerait pas les conseils dans ce sens. La conférence de presse de Vladimir Poutine dans ce sens était encore plus éloquente: il a reconnu que la famille du dictateur avait mis le pays sous coupe réglée depuis plus de quarante ans et que lui-même ne se considrérait pas comme le protecteur de ce régime, mais il estimait la situation blouqée, avec, en outre, l'impossibilité pour l'une des parties de l'empoter sur l'autre…

    Quoi qu'il en soit, les Syriens souffrent et meurent. Et ce n'est plus tolérable. Les USA n'ont proféré de menaces qu'en cas de recours aux armes chimiques, mais si cela continue , rien ne prouve qu'Asssade n'en fera pas usage. En fait, il semble qu'il y ait des tractations entre la Russie et les USA pour se débarrasser du régime actuel de Damas.

    Il faudrait faire vite car les gens meurent.