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  • La rentrée sociale en France ou le règne permanent de l’hybris…

    Qu’est ce que l’hybris ? C’est un terme qui possède un champ sémantique très large et qui s’applique dans bien des domaines, notamment celui de la politique et de la psychologie. Il signifie , en gros, la démesure, le déséquilibre, l’excès en tout genre. Et quiconque se donne la peine d’examiner le plus objectivement possible ce qui se passe dans ce pays, à chaque rentrée, voit ce terme grec s’imposer à lui. 

    Un autre terme ou plutôt une autre expression avait jadis, du temps du président Georges Pompidou, fait florès, à une époque où le parti communiste (plus de 25% à chaque scrutin local ou national) et la CGT faisaient la loi, ou presque. C’est l’expression délectation morose… A chaque rentrée, les syndicats faisaient grève, il y avait toujours une raison valable ( à leurs yeux) pour faire grève. Et un jour, alors que j’étais jeune étudiant, le chef de la CGT, Georges Séguy avait dit au sujet de Pompidou :… ce septennat pourrait être de bien courte durée !  Un véritable appel à l’insurrection !! Grâce au ciel, il n’en fut rien. 

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  • Emmanuel Macron, le meilleur ami de la République islamique d’Iran ?

    De nombreux commentateurs de la politique étrangère de la France se posent la question des deux côtés de l’Atlantique : mais pourquoi donc l’actuel président français fait-il des pieds et des mains (c’est le cas de le dire) pour sauver un accord mort-né sur le nucléaire iranien alors que le régime des Mollahs est aux abois et que personne ne peut garantir qu’il respecte les clauses du contrat ? 

    Les Américains s’en sont émus et l’ont fait savoir publiquement quoique indirectement : l’homme qui s’occupe de l’Iran à la Maison Blanche a répondu aux manœuvres de la diplomatie française en en prenant le contre-pied : il est hors de quoi d’assouplir les sanctions, il convient, tout au contraire, de les maintenir et de les aggraver… C’est une fin de non recevoir à peine diplomatique. Et même l’épisode de Biarritz  n’a pas été oublié : les Français ont cru réalisé un scoop, on connaît la suite. 

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