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LE PASSE-TEMPS FAVORI DES SOCIALISTES FRANÇAIS…

LE PASSE-TEMPS FAVORI DES SOCIALISTES FRANÇAIS…
    Et si le passe-temps favori des socialistes français était de dire du mal les uns des autres, chaque fois qu’un congrès approche ?  Assurément, cela n’arrangera pas l’affaire des militants qui attendent désespérément une victoire électorale décisive. Mais cela convient apparemment aux leaders dits les éléphants qui briguent chacun la première place…
    Résumons la situation : depuis la mort de François Mitterand, seuls ont réussi ceux des socialistes français qui, tout en désavouant le vieux chef (souvenons nous du sous bénéfice d’inventaire de Lionel Jospin), ont poursuivi dans sa voie et utilisé les mêmes méthodes de divide et impera…
    Après l’intermède de M. Jospin, c’est un autre socialiste français, François Hollande qui s’est imposé à force de tours de passe-passe et de numéros d’équilibriste. Sans vouloir être désagréable, sa gestion du PS une décennie durant n’est vraiment pas une réussite. On dit l’homme intéressé par la candidature à l’élection présidentielle de 2007 lorsque soudain sa compagne, téléguidée par d’autres, s’est installée dans la place et lui a soufflé le poste sous le nez…
    La suite est connue : une candidate d’un parti qui ne la soutient pas, des éléphants qui se pressent à ses meetings en étant ailleurs et en attendant que cela se passe, bref une catastrophe… J’avais déjà écrit dans une note, en son temps, que la candidate du PS souffrait d’un triple handicap ou inadéquation : a) entre elle et le PS b) entre elle et son programme et c) entre elle et son propre staff (son conseiller économique est devenu ministre de Nicolas Sarkozy…)
    Et aujourd’hui, c’est reparti de plus belle : il suffit de lire l’article de Fr Hollande dans le journal Le Monde pour s’en convaincre. Il y a fort à parier que Bertrand Delanoë, Maire de Paris, va disputer à Madame Ségolène Royal sa place d’ancienne candidate à la présidentielle… Et cela repartira comme la dernière fois : unité de façade, on va au feu, on perd et on recommence. 

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