INTERVIEW de Benjamin NETANYAHU à la télévision.
A la question de savoirsi Israël irait cette fois jusqu’au bout et s’il était très bien préparé, le leader de l’opposition a répondu avec calme et détermination. Il faut confiance au gouvernement qui a la charge des affaires, donc de la conduite de la guerre.
Pour lui, le Hamas doit être détruit car il est un obstance à la paix et un pion entre les mains des Iraniens qui seront prêts à tout à contester aux arabes le leadership régional et chiitiser le secteur. Pour parvenir à leurs fins, les Iraniens développent l’armée nucléaiare, interdisent la normalisation du Liban et tout risque d’alliance de ce pays avec l’Occident, et attisent la haine contre Israël, tête de pont des Etats Unis dans la région, selon eux.
Pour Netanyahu, aucun pays ne supporterait cinq minutes des bombes comme le fait Israël depuis 8 ans à Sdéraot.
Au lieu de mettre à profit la trêve pour développer un agenda politique, ce que lui interdisent son idéologie et son allié iranien, le Hamas n’a jamais cessé de se renforcer militairement.
Benajmin Netanyahu n’a pas trouvé de mots assez durs pour dénoncer l’attitude du Hamas qui attaque des civils et s’abritent derrière des civils palestiniens, à l’instar d’autres comme le Hezbollah.
En conclusion, il a bien souligné que l’Etat d’Israël était uni derrières ses chefs militaires qui, cette fois ci, conduisent bien la guerre.
Encore la guerre, tioujours la guerre, hélas. Nul ne pourra nous dire quel fut le grand sage qui conduisit le Hamas non seulement à dénoncer la trêve mais en plus à l’accopagner de tirs de mortiers.
-
-
La guerre entre Israel et le Hamas
La guerre entre Israël et le Hamas -
Les derniers developpements de la guerre
LES DERNIERS DEVELOPPEMENTS DE LA GUERRE
Ce qui retient le plus l’attention ce soir en Israël, c’est surtout la pression exercée par les manifestations arabes sur ce pays pour qu’il ouvre la frontière avec Gaza, ce qu’il se refuse à faire pour l’instant de peur que les gens du Hamas n’en profitent pour introduire ses militants sur le territoire et ne suscitent des troubles. En revanche, ils permettent le passage des blessés graves.
La télévision passe une manifestation de Beyrouth, convoquée par le Hezbollah dont le chef a prononcé hier soir une diatribe d’une violence inouie à l’encontre de la direction égyptienne, et spécialement le président Moubarak. Je n’ai jamais entendu des attaques aussi dures traitant le dirigeant égyptien de traître, du spupplétif des bourreaux et invitant les généraux du bord du Nil à faire un coup d’Etat.. Mais il ajoute une intéressante analyse sur l’attaque actuelle : selon le chef de la milice chiite, les USA et Israël ne s’en prennent pas au Hamas en raison de son islamisme mais surtout en raison de son engagement politique, à savoir que ce mouvement n’accepterait jamais la paix avec Israël.
Bien, qu’il soit difficile à découvrir entièrement, on croit discerner la volonté de couper définitivement la population de Gaza du Hamas, condamné à laisser la place.
L’avenir nous dira ce qui va réellement se passer et quand donc le clame reviendra.