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ESTHER DAVID, LE LIVRE DE RACHEL, PARIS, HELOÏSE D’ORMESSON, 2009.

ESTHER DAVID, LE LIVRE DE RACHEL, PARIS, HELOÏSE D’ORMESSON, 2009.
C’est là un sympathique petit ouvrage, écrit par une femme juive de Bombay, devenue veuve, et que ses propres enfants ont laissé toute seule (de sa propre volonté et non de la leur) pour aller vivre en Israël où il grossissent les rangs de la communauté indienne dans l’Etat juif.ESTHER DAVID, LE L

 

ESTHER DAVID, LE LIVRE DE RACHEL, PARIS, HELOÏSE D’ORMESSON, 2009.
C’est là un sympathique petit ouvrage, écrit par une femme juive de Bombay, devenue veuve, et que ses propres enfants ont laissé toute seule (de sa propre volonté et non de la leur) pour aller vivre en Israël où il grossissent les rangs de la communauté indienne dans l’Etat juif.
En fait, chaque chapitre est précédé d’une recette de cuisine issue de la gastronomie juive accommodée aux coutumes locales. Ce qui nous emplit de nostalgie et rend la lecture de ce petit livre fort attachante, c’est l’aspect fin de race ou dernier des Mohicans, surtout que l’héroïne veille le dernier lieu de culte juif de la région. Plus aucun service religieux dans la pauvre synagogue, laissée à l’abandon, et pourtant, la dame, seule survivante de la communauté, en assure la propreté, vérifie en cas d’intempéries que les portes sont bien fermées et les portes étanches afin d’éviter toute détérioration… Cette femme vit évidemment dans le passé, son sari lui rappelle le jour de son mariage, les recettes qu’elle prépare pour elles évoquent souvent le souvenir de son défunt mari…
Un livre émouvant, remarquablement traduit de l’anglais.

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