LA CRISE DE L’UNIVERSITÉ.
Maintenant que l’année universitaire s’achève et que les examens pointent le bout de leur nez, une panique générale s’empare de tous els acteurs de cette malheureuse crise. On se rend soudainement compte que l’agitation n’a rien résolu et que les principaux intéressés, les étudiants, se retrouvent seuls devant leur situation : comment réussir aux examens ? Comment même subir des épreuves auxquelles on n’a pas été préparé ?
Si certains revendications estudiantines ou professorales sont justifiées, rien ne pourrait expliquer cette vaste entreprise de destruction dont les victimes sont toujours les mêmes le étudiants.
LA CRISE DE L’UNIVERSITÉ.
Maintenant que l’année universitaire s’achève et que les examens pointent le bout de leur nez, une panique générale s’empare de tous els acteurs de cette malheureuse crise. On se rend soudainement compte que l’agitation n’a rien résolu et que les principaux intéressés, les étudiants, se retrouvent seuls devant leur situation : comment réussir aux examens ? Comment même subir des épreuves auxquelles on n’a pas été préparé ?
Si certains revendications estudiantines ou professorales sont justifiées, rien ne pourrait expliquer cette vaste entreprise de destruction dont les victimes sont toujours les mêmes le étudiants.
Certes, la ministre, Madame Pécresse, femme courageuse et intelligente, a reconnu que l’université avait été négligée depuis 40 ans (ce qui ramène à mai 68 !) et que depuis lors on s’était méfié de cet incontrôlable foyer de contestation qui menaçait la société dans sa totalité.
Depuis lors, l’enseignement supérieur s’est vu promettre une dotation comme il n’en avait jamais eu auparavant. Il fallait donc réfléchir et se dire que rien ne pouvait justifier une année d’études en pure perte.
Mais si la raison finit par l’emporter, on peut encore, avec de la bonne volonté, sauver l’année universitaire : des cours devraient être organisés, à titre exceptionnelle, au sein des établissements qui ont le plus souffert, et ainsi permettre aux étudiants de passer leurs examens en septembre ou en octobre (pour les sessions de rattrapage).
Au fond, chaque fois que l’on touche en France à l’enseignement, de la maternelle au Collège de France, on se heurte à un mur de fantasmes, de peurs irraisonnées et de noires arrière pensées prêtées aux auteurs des réformes.
Peut-on m’expliquer pourquoi ?