L’OBJECTIF DU PRESIDENT OBAMA AU SEIN DU MONDE ARABO-MUSULMAN
Jusqu’à présent, les résultats du voyage du président américain au sein du monde musulman a donné de maigres résultats. Je le répète, le projet est bon mais les résultats attendus ne seront sûrement pas au rendez vous. Car le nouvel élu ne se pose pas la question la plus importante : que pense son électorat, que pense l’opinion publique américaine qui n’a pas oublié le 11 septembre ? Ce ne sont pas les adeptes de Shinto ni de Bouddha qui, un certain 11 septembre 2001, ont fondu sur les tours jumelles, provoquant la mort et la destruction de tant de personnes et de biens à New York, sans même parler du Pentagone et de l’attentat manqué contre la Maison Blanche.
Le pari de Barack Hussein Obama est, je le répète, animé de bonnes intentions mais il ne pourra pas tourner la page de l’après 11 septembre 2001. C’est la première fois qu’une telle attaque fond sur les USA dont les cieux n’ont jamais connu un seul appareil ennemi, excepté ce jour là.
L’OBJECTIF DU PRESIDENT OBAMA AU SEIN DU MONDE ARABO-MUSULMAN
Jusqu’à présent, les résultats du voyage du président américain au sein du monde musulman a donné de maigres résultats. Je le répète, le projet est bon mais les résultats attendus ne seront sûrement pas au rendez vous. Car le nouvel élu ne se pose pas la question la plus importante : que pense son électorat, que pense l’opinion publique américaine qui n’a pas oublié le 11 septembre ? Ce ne sont pas les adeptes de Shinto ni de Bouddha qui, un certain 11 septembre 2001, ont fondu sur les tours jumelles, provoquant la mort et la destruction de tant de personnes et de biens à New York, sans même parler du Pentagone et de l’attentat manqué contre la Maison Blanche.
Le pari de Barack Hussein Obama est, je le répète, animé de bonnes intentions mais il ne pourra pas tourner la page de l’après 11 septembre 2001. C’est la première fois qu’une telle attaque fond sur les USA dont les cieux n’ont jamais connu un seul appareil ennemi, excepté ce jour là.
Mais le pari américain est impossible à tenir pour une autre raison : la nature despotique, anti-démocratique des régimes auprès desquels l’Américain va plaider sa cause. Comment parler de paix, de démocratie et de progrès dans de tels pays qui, si les élections étaient vraiment libres, basculeraient immédiatement dans l’islamisme et l’extrémisme. C’est donc un grave pari que fait ce président démocrate.
Un autre élément, non négligeable, risque de jouer en sa défaveur : l’alliance stratégique sera mise à mal avec Israël qui a la mémoire longue et n’oubliera jamais ce manège qui lui déplaît souverainement. Il est vrai que l’on ne comprend pas bien ce qui se passe : tous les conseillers les plus écoutés de ce président sont juifs et pourtant ils se font les hérauts d’une politique américaine pro-arabe.
Après tout, pourquoi pas ? Peut-être estiment-ils que c’est là l’unique façon de bloquer l’Iran des Mollahs ? C’est possible. Mais ici aussi, la réflexion ne va pas bien loin car les régimes arabes modérés de la région craignent de faire les frais d’un rapprochement USA- Iran… Si ces craintes devaient se concrétiser, , l’actuel leader américain perdrait tout : et l’allié israélien (jusqu’ici indéfectible), les régimes arabes modérés et il hériterait, en prime, d’un Iran toujours plus menaçant. En hébreu, pour dire perdre sur les deux tableaux, on dit qéré’ah mi-kan u-mi-kan…
Mais, après tout, qui ne tente rien n’a rien… Si telle est la mise pour aboutir à la paix, à la sécurité et à la prospérité, pourquoi pas ?